La semaine a été marquée en Guyane par une actualité sociale dense avec, notamment une manifestation sur l'insécurité, la saisine du Conseil constitutionnel sur la question de l'Ocroi de mer, la naissance d'un nouveau collectif citoyen contre l'exploitation minière alors que se termine le carnaval.
•
Dans l'ouest guyanais, l'arbre fromager tutélaire de Papaïchton planté, il ya plus d'un siècle, est tombé. pour les habitants, cet événement a été vécu comme une perte douloureuse annonciatrice de difficultés.
Le reportage de Sébastien Laporte
La CTG connaît de grosses difficultés financières. La taxe de l'octroi de mer est de nouveau reversée aux communes. Le budget de la collectivité majeure est désormais amputé de 27 millions pour les années à venir.
Le reportage de Marc-Philippe Coumba
Le reportage de Vanessa Porphyre
Le reportage de Sébastien Laporte
La Collectivité Territoriale de Guyane perd la taxe de l'Octroi de mer
La CTG connaît de grosses difficultés financières. La taxe de l'octroi de mer est de nouveau reversée aux communes. Le budget de la collectivité majeure est désormais amputé de 27 millions pour les années à venir. Le reportage de Marc-Philippe Coumba
Le reportage de Sébastien Laporte
Mobilisation contre l'insécurité du 22 février avec les collectifs 500 frères et Trop violans
D'ouest en est en passant par Cayenne, les citoyens ont répondu à l'appel des 500 frères et de Trop Violans le 22 février. Ils ont défilé contre l'insécurité vêtus de noir. Une délégation reçue par la préfet a exposé les doléances qui ont été entendues. Le but de cette mobilisation citoyenne est d'obtenir, coûte que coûte des autorités des mesures drastiques et surtout efficaces pour enrayer la violence. Les animateurs des collectifs assurent de leur pacifisme et de leur soutien.
Le reportage de Renaud Terrazzoni
Un collectif contre l'exploitation minière "Or de question"
Ils ne veulent pas d'exploitation minière à échelle industrielle. En particulier, ils s'insurgent contre le projet de Colombus Gold à Saint-Laurent sur la Montagne d'or. Les dégâts environnementaux seront irréparables, selon eux, et certainement pas à la hauteur des faibles retombées économiques pour la Guyane qu'ils estiment à peine à 2,5%. 18 associations se sont regroupées en collectif sous le nom de "Or de question".Le reportage de Vanessa Porphyre