Le Djokan, cet art martial guyanais qui a vu le jour en 2010, a plus de 200 pratiquants. Samedi soir, l’Encre a fait salle comble pour la 3ème édition du Djokanakondé. Sur scène une trentaine de danseurs, tambouyens, chanteuses, et Djokanka. Un spectacle hommage, aux dokos.
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Sur la scène de l’encre, c’est le Djokanakondé, comprenez : le village du Djokan. Un art martial 100% amazonien. La thématique de cette édition, C’est : Rakaba, les racines, le retour aux sources.
Yannick Théolade, grand dôkô sawani makan, fondateur du djokan :
Le public :
Yannick Théolade, grand dôkô sawani makan, fondateur du djokan :
Le Djokan, c’est un subtil mélange de la quintessence des cultures créoles, amérindiennes et Bushinengué, ce spectacle est le fruit d’une résidence artistique."On voit souvent le djokan sous sa forme, sa version actuelle, mais il était important pour moi, d'avoir un caractère plus pédagogique, de montrer ses racines, les sources culturelles."
Le public :
"C'était un spectacle très riche, très agréable, qui montre bien la richesse de la Guyane."
Djokanakondé, Où comment démontrer, que les différentes cultures sont complémentaires, sur cette terre, Sud-américaine, européenne et amazonienne….Qu’est la Guyane."Très beau spectacle multiculturel, on a représenté l'ensemble de la Guyane."
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