Le monde des entreprises est en difficulté en Guyane. Roberto Osseux à la tête d'une petite entreprise témoigne de son quotidien complexe pour maintenir à flot son atelier de ferronnerie au prix de grands sacrifices.
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Son désarroi est grand, Roberto Osseux ne le cache pas, la crise économique touche de plein fouet son activité. Il possède une petite entreprise de ferronnerie et de carrosserie industrielle depuis plus de 26 ans réputée dans le secteur qui emploie actuellement 8 salariés.
Depuis 2010, il a du peu à peu réduire le personnel et geler les salaires, à commencer par le sien car l'activité n'est plus la même. Il se bat au quotidien pour rester sur le marché mais cela devient de plus en plus difficile entre les charges sociales à payer, les salaires, les fournisseurs et les banques qui ne suivent plus et surtout les impayés qui s'élèvent à plus de 200 000 euros. Sa situation est catastrophique à l'instar de beaucoup d'autres entrepreneurs guyanais.
Le reportage de Laurence Tian Sio Po et Franck Fernandes
Depuis 2010, il a du peu à peu réduire le personnel et geler les salaires, à commencer par le sien car l'activité n'est plus la même. Il se bat au quotidien pour rester sur le marché mais cela devient de plus en plus difficile entre les charges sociales à payer, les salaires, les fournisseurs et les banques qui ne suivent plus et surtout les impayés qui s'élèvent à plus de 200 000 euros. Sa situation est catastrophique à l'instar de beaucoup d'autres entrepreneurs guyanais.
Le reportage de Laurence Tian Sio Po et Franck Fernandes