Yvane Goua, porte parole de l'association Trop Violans, invitée de Mayouri info apporte des explications sur la pétition lancée sur internet pour obtenir la mise en place d'un scanner à l'aéroport Félix Eboué.
Une pétition a été mise en ligne pour l'obtention d'un scanner à l'aéroport Félix Eboué par l'association Trop Violans . L'association estime cet outil indispensable pour lutter efficacement contre le phénomène des mules qui pourrit la société guyanaise. Cette pétition a recueilli à ce jour 4793 signatures.
Yvane Goua, la porte parole rappelle que cet outil avait déjà été demandé en 2014 et refusé par l'Etat. Elle se doute bien qu'il ne sera pas facile de convaincre les opposants d'obtenir ce scanner. Cela passe par de l'information et des explications claires sur les potentiels dangers de l'outil pour les voyageurs.
Selon Yvane Goua, il n'y a pas à l'heure actuelle de solutions d'envergure proposées pour endiguer la problématique des mules.
"On veut des solutions concrètes, des solutions qui fonctionnent"
La porte -parole explique que les scanners utilisés dans les aéroports sont spécifiques et ne présentent pas de dangers particuliers. Elle complète son propos ainsi :
"Pour pouvoir atteindre le seuil annuel critique de radiation, il faudrait passer un scanner 3 fois par jour, tous les jours de l'année..."
Le risque dans ce cas peut davantage être pour le personnel naviguant.
L'association entend continuer sa campagne d'information pour convaincre la population et obtenir au moins 10 000 signatures pour que cette demande devienne réalité.
L'interview d'Yvane Goua
Yvane Goua, la porte parole rappelle que cet outil avait déjà été demandé en 2014 et refusé par l'Etat. Elle se doute bien qu'il ne sera pas facile de convaincre les opposants d'obtenir ce scanner. Cela passe par de l'information et des explications claires sur les potentiels dangers de l'outil pour les voyageurs.
Selon Yvane Goua, il n'y a pas à l'heure actuelle de solutions d'envergure proposées pour endiguer la problématique des mules.
"On veut des solutions concrètes, des solutions qui fonctionnent"
La porte -parole explique que les scanners utilisés dans les aéroports sont spécifiques et ne présentent pas de dangers particuliers. Elle complète son propos ainsi :
"Pour pouvoir atteindre le seuil annuel critique de radiation, il faudrait passer un scanner 3 fois par jour, tous les jours de l'année..."
Le risque dans ce cas peut davantage être pour le personnel naviguant.
L'association entend continuer sa campagne d'information pour convaincre la population et obtenir au moins 10 000 signatures pour que cette demande devienne réalité.
L'interview d'Yvane Goua