Dans un communiqué diffusé ce vendredi , le député Lénaïck Adam « déplore que son chauffeur ait pu être impliqué dans une affaire de trafic – présumé - de stupéfiants », et se dit « nullement concerné ». Le collaborateur parlementaire du député a été arrêté mardi à Saint-Laurent.
« C’est la stupéfaction au sein de l’équipe », explique Lovely Bergena, l’une des trois collaboratrices parlementaires du député Lénaïck Adam, jointe cet après-midi à Paris.
Le communiqué du député a officialisé la rumeur circulant sur les réseaux sociaux : l’un des ses collaborateurs est soupçonné par la justice d’être impliqué dans un trafic présumé de cocaïne. Il s’agit de Déric Adam, le chauffeur du député, qui a un statut de collaborateur parlementaire.
Selon nos informations, il a été interpellé mardi en Guyane, à son domicile à Saint Laurent du Maroni, par des policiers de l’antenne locale de l’OFAST, l’Office Anti Stupéfiants Antilles-Guyane. Il a été placé en détention à la suite de garde à vue.
Joint cet après-midi, le député, actuellement en Guyane, s’est dit « dépité », mais n’a pas voulu faire d’autres commentaires sur l’affaire. Il nous a précisé qu’il avait recruté Déric Adam début 2019, et que c’était un cousin. Dans son communiqué, Lénaïck Adam « assure qu’il prendra en tant qu’employeur les décisions qui s’imposent à lui au regard du comportement de son salarié ».
Selon nos informations, il pourrait y avoir un lien entre cette interpellation et un premier fait : l’interpellation samedi 19 septembre à l’aéroport Félix Eboué d’un jeune métropolitain avec près de 9 kilos de cocaïne dans sa valise.
Cette « mule » présumée devait prendre un vol vers Paris. L’affaire, initiée par les douanes, a été transmise à l’Office Anti-Stupéfiants, amenant d’autres développements.
Joint ce vendredi matin, le procureur de la République Samuel Finielz n’a pas souhaité donner d’information pour le moment. Dans son communiqué, Lénaïck Adam indique « avoir déjà pris attache avec les autorités compétentes afin de permettre la plus complète manifestation de la vérité ». Par ailleurs, le député « s’inscrit en faux dans le procès qui lui est fait sur les réseaux sociaux et affirme qu’il n’est aucunement concerné par l’affaire qui vise son collaborateur ».
Le parlementaire du groupe « La République En Marche » reprendra ses activités la semaine prochaine à l’assemblée nationale.
Le communiqué du député a officialisé la rumeur circulant sur les réseaux sociaux : l’un des ses collaborateurs est soupçonné par la justice d’être impliqué dans un trafic présumé de cocaïne. Il s’agit de Déric Adam, le chauffeur du député, qui a un statut de collaborateur parlementaire.
Selon nos informations, il a été interpellé mardi en Guyane, à son domicile à Saint Laurent du Maroni, par des policiers de l’antenne locale de l’OFAST, l’Office Anti Stupéfiants Antilles-Guyane. Il a été placé en détention à la suite de garde à vue.
Joint cet après-midi, le député, actuellement en Guyane, s’est dit « dépité », mais n’a pas voulu faire d’autres commentaires sur l’affaire. Il nous a précisé qu’il avait recruté Déric Adam début 2019, et que c’était un cousin. Dans son communiqué, Lénaïck Adam « assure qu’il prendra en tant qu’employeur les décisions qui s’imposent à lui au regard du comportement de son salarié ».
Un lien avec une saisie de 9kg de cocaïne à l’aéroport ?
Selon nos informations, il pourrait y avoir un lien entre cette interpellation et un premier fait : l’interpellation samedi 19 septembre à l’aéroport Félix Eboué d’un jeune métropolitain avec près de 9 kilos de cocaïne dans sa valise.
Cette « mule » présumée devait prendre un vol vers Paris. L’affaire, initiée par les douanes, a été transmise à l’Office Anti-Stupéfiants, amenant d’autres développements.
Joint ce vendredi matin, le procureur de la République Samuel Finielz n’a pas souhaité donner d’information pour le moment. Dans son communiqué, Lénaïck Adam indique « avoir déjà pris attache avec les autorités compétentes afin de permettre la plus complète manifestation de la vérité ». Par ailleurs, le député « s’inscrit en faux dans le procès qui lui est fait sur les réseaux sociaux et affirme qu’il n’est aucunement concerné par l’affaire qui vise son collaborateur ».
Le parlementaire du groupe « La République En Marche » reprendra ses activités la semaine prochaine à l’assemblée nationale.