Dans un communiqué intitulé « Violence contre dignité » et diffusé, mercredi 27 mars 2019, une intersyndicale composée de 8 organisations, condamnent des débordements sur le campus, lors du blocage, de la part de personnes dépositaires de l’autorité administrative et politique.
L’intersyndicale, de la communauté éducative universitaire, réagie aux tensions sur le campus de Troubiran. Elle accuse « une dizaine de militantes très excitées, inconnues de l’université d’avoir fait une première tentative de perturbations des débats en vociférant ». Elle désigne aussi, Laurent LINGUET et Ghislaine PREVOT, tous deux vice-présidents de l’Université, d’avoir avec des pinces-monseigneur, « mener le coup de force qui a permis l’ouverture des bâtiments». Les syndicats demandent à la présidence de l’université de se «désolidariser clairement » au risque selon elle «de perdre toute crédibilité».
Les enseignants, étudiants et bénévoles pointent par ailleurs le préfet et sa «lourde responsabilité dans cette affaire». Selon eux : «Il a donc clairement fait le choix du pourrissement à l’Université, jouant sur des fractures internes à la société guyanaise, plutôt qu’assumer ses responsabilités ».
Enfin, l’intersyndicale annonce qu’elle continuera la mobilisation sous d’autres formes d’actions et qu’elle participera à la réunion prévue vendredi 29 mars, à la prefecture
Les enseignants, étudiants et bénévoles pointent par ailleurs le préfet et sa «lourde responsabilité dans cette affaire». Selon eux : «Il a donc clairement fait le choix du pourrissement à l’Université, jouant sur des fractures internes à la société guyanaise, plutôt qu’assumer ses responsabilités ».
Enfin, l’intersyndicale annonce qu’elle continuera la mobilisation sous d’autres formes d’actions et qu’elle participera à la réunion prévue vendredi 29 mars, à la prefecture