Cette femme a l accueil fait partie des victimes . Les agents vont l orienter vers le service des plaintes , des policiers qui ont été formé pour l’ecoute et le soutien aupres des femmes battues
Major Claude Rousseau, responsable des plaintes :
Mais encore aujourd’hui de nombreuses femmes n osent pas porter plainte en Guyane. Bien souvent des situation administratives et economique tres difficiles ."Il ya eu un drame, il n'y a pas longtemps, il ne faut pas hésiter il faut venir au commissariat, on les reçoit, on les conseille et puis on est en contact avec des associations. Le lundi et le jeudi, il y a l'aide aux victimes qui est à l'écoute et prend le relais".
Major exceptionnel, Stéphane Desroziers:
Le directeur de la sécurité publique a fait de la violence conjugale une de ses priorités . le commissariat travaille avec des juristes, des psychologues et des associations pour apporter des réponses et lancer les procédures les mieux adaptées dans l’intérêt des victimes. Commissaire Thierry Guiguet Doron, directeur de la sécurité publique :"Vous avez cette situation très particulière que l'on va retrouver en Guyane, d'une femme qui est sans papiers, qui demeure chez un homme qui en dispose, qui a un appartement et du coup cela créé un lien de soumission entre ces deux personnes. Bien souvent les femmes hésitent parce que dans cette situation, ells vont tout perdre, elles vont se retrouver sans toit, sans situation sereine".
En 2019 , 2 femmes ont été tuées par leur conjoint en Guyane."La prochaine étape mais cela va être prévu dans la loi, c'est d'empécher le conjoint violent, de garder la femme dans la maison et d'empécher ce conjoint violent, d'accéder dans le domicile, par un bracelet électronique qui informera de la pénétration dans ce périmètre. A cette alerte, la police ou la gendarmerie interviendra ".