La campagne d’inscription a débuté ce lundi 7 juillet 2014. Seul ou souvent accompagné d’un proche ou de ses amis, le néo-bachelier fait ses premiers pas dans les allées de la faculté. Une nouvelle étape dans la vie qui lui fait se sentir un peu plus grand.
À l’arrière du bâtiment de l’Espace de Vie Etudiante (EVE) au Moufia, un emplacement a été aménagé spécialement pour l’inscription des nouveaux bacheliers. Malgré le parcours fléché, le lieu, un peu en retrait, n’est pas toujours évident à repérer, mais une fois à l’entrée des bureaux d’inscription, tout est fait pour que les futurs étudiants se retrouvent. Ils sont orientés par le personnel de l’UNEF sur différents stands et il y a même un espace d’attente. « On leur présentent le bureau de la vie étudiante qui se charge des activités en dehors des études, mais aussi les différentes mutuelles étudiantes ainsi que les banques », expose rapidement Stéphane Maillot, président de l’Unef Réunion.
« Dans la cour des grands »
Ce mardi matin, Yves, 17 ans, n’a pas eu d’autre choix que de venir seul. Celui qui vient tout juste de décrocher son bac L doit fait face un nouveau défi pour son inscription en première année d’anglais. « Je dois avouer que ce n’est pas évident. Les formulaires d’inscriptions sont différents de ceux du lycée. Maintenant ils sont beaucoup plus compliqués à remplir. On m’a donné des conseils, mais il y a des notions qui m’échappent encore. Je vais visiter tous les stands et ensuite je passerai un coup de fil aux parents », se rassure-t-il en quittant, un peu désemparé, le stand de la mutuelle . Malgré tout, il relativise et apprécie le moment. « Cette journée donne déjà un aperçu de ce qui nous attend, ça nous met dans l’ambiance». Antonin, 17 ans, est venu lui aussi faire ses démarches d'inscription, en première année de STAPS, seul. « Je trouve que c’est bien organisé. Il y a un bon accueil et une bonne indication dans le campus. » D’autres, comme Françoise n’en sont pas à leur première inscription. Rien d’extraordinaire pour cette maman qui conduisait sa fille il y a quelques années. Aujourd’hui, c’est avec impatience qu’elle accompagne son fils de 17 ans. « Je trouve que c’est long. Je ne m’attendais pas à être accueillie sous le soleil avec autant de monde. »
« C’est excitant, j’ai hâte »
Un peu plus loin, dans l’espace d’attente, Marine, 18 ans, semble rassurée en compagnie de sa grande sœur. « Pour moi c’est un pas vers une nouvelle vie. Je vais faire médecine, je sais que ça va être difficile, mais en même temps c’est excitant. J’ai hâte. » Craintes et impatiences. Des sentiments partagés par Yann-Franck qui s’inscrit en première année commune aux études de santé (PACES). « Là, c’est un changement. On se sent dans la cour des grands. Je suis à la fois excité et apeuré parce que je ne sais pas à quoi m’attendre. Je pense qu’on va travailler, mais on va aussi profiter, surtout des soirées étudiantes. »
Un programme scolaire bien rempli
Il faudra sans doute un certains temps à ces futurs étudiants pour s’adapter. Mais ils semblent prêts à donner le meilleur d’eux mêmes pour réussir. « Je sais que le programme est bien rempli. J’espère que je vais réussir, du moins, je ne vois pas pourquoi je ne réussirais pas », conclut Antonin.
« Dans la cour des grands »
Ce mardi matin, Yves, 17 ans, n’a pas eu d’autre choix que de venir seul. Celui qui vient tout juste de décrocher son bac L doit fait face un nouveau défi pour son inscription en première année d’anglais. « Je dois avouer que ce n’est pas évident. Les formulaires d’inscriptions sont différents de ceux du lycée. Maintenant ils sont beaucoup plus compliqués à remplir. On m’a donné des conseils, mais il y a des notions qui m’échappent encore. Je vais visiter tous les stands et ensuite je passerai un coup de fil aux parents », se rassure-t-il en quittant, un peu désemparé, le stand de la mutuelle . Malgré tout, il relativise et apprécie le moment. « Cette journée donne déjà un aperçu de ce qui nous attend, ça nous met dans l’ambiance». Antonin, 17 ans, est venu lui aussi faire ses démarches d'inscription, en première année de STAPS, seul. « Je trouve que c’est bien organisé. Il y a un bon accueil et une bonne indication dans le campus. » D’autres, comme Françoise n’en sont pas à leur première inscription. Rien d’extraordinaire pour cette maman qui conduisait sa fille il y a quelques années. Aujourd’hui, c’est avec impatience qu’elle accompagne son fils de 17 ans. « Je trouve que c’est long. Je ne m’attendais pas à être accueillie sous le soleil avec autant de monde. »
« C’est excitant, j’ai hâte »
Un peu plus loin, dans l’espace d’attente, Marine, 18 ans, semble rassurée en compagnie de sa grande sœur. « Pour moi c’est un pas vers une nouvelle vie. Je vais faire médecine, je sais que ça va être difficile, mais en même temps c’est excitant. J’ai hâte. » Craintes et impatiences. Des sentiments partagés par Yann-Franck qui s’inscrit en première année commune aux études de santé (PACES). « Là, c’est un changement. On se sent dans la cour des grands. Je suis à la fois excité et apeuré parce que je ne sais pas à quoi m’attendre. Je pense qu’on va travailler, mais on va aussi profiter, surtout des soirées étudiantes. »
Un programme scolaire bien rempli
Il faudra sans doute un certains temps à ces futurs étudiants pour s’adapter. Mais ils semblent prêts à donner le meilleur d’eux mêmes pour réussir. « Je sais que le programme est bien rempli. J’espère que je vais réussir, du moins, je ne vois pas pourquoi je ne réussirais pas », conclut Antonin.