Après la patate douce, la CCIMA a consacré son marché du mois d’avril à l’igname. Ce tubercule est un incontournable des offrandes coutumières.
Sur le territoire, il existe17 variétés différentes.
Sur la vingtaine d’exposants présents au marché Mala’emahu d’Akaaka, plus de la moitié étaient là pour vendre des ignames.
L’un de ces producteurs, Siole MOALAUVEA a récolté près de 500 mille francs (plus de 4000 euros) en une demie-journée.
J'ai toujours travaillé et produit l'igname appelé "folau", comme un igname voyageur. On a beau aimer les taros et les maniocs, les gens préfèrent ce féculent!
Siole Moala'uvea, agriculteur de Wallis
En purée, en soupe ou même en patisserie.. l’igname a tout pour séduire.
Je viens de la Réunion, je connaissais le manioc et la patate douce mais je découvre l'igname ici
Fabrice, client
Le reportage d' Ana Vakalepu et Mirna Kilama: