A Paris, les députés de la majorité ont définitivement adopté le texte autorisant sous certaines conditions, la recherche sur l'embryon et les cellules souches. L'opposition UMP et l'UDI ont voté contre.
A gauche, on estime que la médecine régénérative et la thérapie cellulaire sont un enjeu majeur de santé publique. Le député PRG et ancien ministre de la recherche Roger-Gérard Schwartzenberg explique son vote en évoquant :
"le cas de tous ceux qui attendent et espèrent des thérapies nouvelles qui viendraient à bout par exemple de la dégénérescence de la rétine, la maladie d'Alzheimer ou encore des maladies cardiaques."
Pour la droite et le centre, un tel débat en plein centre de l'été est forcément bâclé. Le député UMP Jean Leotti, ancien rapporteur des lois de révisions bioéthiques estime que : "La recherche n'était pas entravée par le régime actuel", met en garde contre les espoirs décus et conclut par ces mots : "Ne laissez pas croire que les gens seront guéris"
La riposte des associations, telles que la Fondations Jérôme Lejeune, l'Alliance Vita, la confédération nationale des associations familiales catholiques et le comité protestant évangélique pour la dignité humaine ne s'est pas faite attendre. Une pétition est lancée afin que le texte soit l'objet d'un examen par la commission européenne.
"le cas de tous ceux qui attendent et espèrent des thérapies nouvelles qui viendraient à bout par exemple de la dégénérescence de la rétine, la maladie d'Alzheimer ou encore des maladies cardiaques."
Pour la droite et le centre, un tel débat en plein centre de l'été est forcément bâclé. Le député UMP Jean Leotti, ancien rapporteur des lois de révisions bioéthiques estime que : "La recherche n'était pas entravée par le régime actuel", met en garde contre les espoirs décus et conclut par ces mots : "Ne laissez pas croire que les gens seront guéris"
La riposte des associations, telles que la Fondations Jérôme Lejeune, l'Alliance Vita, la confédération nationale des associations familiales catholiques et le comité protestant évangélique pour la dignité humaine ne s'est pas faite attendre. Une pétition est lancée afin que le texte soit l'objet d'un examen par la commission européenne.