Ils étaient une dizaine d'associations et de syndicats de Martinique et de Guadeloupe réunis hier soir (vendredi 25 octobre 2019) à la maison des syndicats à Fort-de-France. Une réunion pour poursuivre la mobilisation contre l'empoisonnement au chlordécone et la pollution de l'eau.
Il faudrait 1000 signatures pour donner du poids à la plainte en action collective conjointe contre l’empoissonnement au chlordéchone. C’est le chiffre annoncé vendredi 25 octobre 2019 à la maison des syndicats, lors d’un grand meeting qui a rassemblé plus d’une centaine de personnes.
Au cours de cette manifestation, maitre Christopher Leguévac a fait le point sur la procédure pour préjudice morale et le choix d'une plainte en action collective conjointe contre l'Etat.
La plainte en responsabilité civile contre l’état dans le dossier du chlordéchone avance. Patricia Chatenay-Rivauday, présidente de l’association Vivre de Guadeloupe, a participé au meeting du lyannaj pou dépolié matinik.
Syndicats, associations et une centaine de personnes ont fait le déplacement, mais il en faudrait davantage pour faire pencher la balance selon la présidente de Vivre l’association à l’origine de cette plainte.
Les signatures sont enregistrées jusqu'au 15 Novembre 2019 sur le site : chlordécone.mysmartcab.fr. La plainte sera déposée le 2 décembre 2019 avec le manifeste de signatures.
Au cours de cette manifestation, maitre Christopher Leguévac a fait le point sur la procédure pour préjudice morale et le choix d'une plainte en action collective conjointe contre l'Etat.
Avocat
Syndicats, associations et une centaine de personnes ont fait le déplacement, mais il en faudrait davantage pour faire pencher la balance selon la présidente de Vivre l’association à l’origine de cette plainte.
Association Vivre