La 17e édition du festival Biguine Jazz commence ce vendredi 9 Août aux Trois-Îlets. Lors de la conférence de presse à l'agora Frantz Fanon de la CTM, les organisateurs ont présenté aux invités un avant-goût de ce grand rendez-vous du mois d'août.
Le directeur du festival Christian Boutant, ouvrant la conférence de presse, a mis l’accent sur la programmation innovante du festival biguine jazz. Cette 17e édition confirme les valeurs d’un événement prioritairement consacré au jazz créole afro-caribéen. "Notre festival constitue une scène, un espace d’un jazz nouveau enraciné dans des expressions rythmiques et culturelles issues du métissage", argumente Christian Boutant.
Alfred Marie Jeanne, président du conseil exécutif de la CTM, en a profité pour mettre en avant l’action et l'effort partenarial déployé par la collectivité pour aider la culture et les acteurs culturels. "Ces rencontres sont génératrices d’espoir, d’élévation, d’enracinement et d’universalité", dit-il.
Pour sa part, Thomas Boutant (directeur de la programmation), a présenté le programme (du 9 au 15 Août). Il a mis en exergue l’implication de la jeunesse, la transmission et surtout l'objectif qui est de faire grandir ce festival.
Les organisateurs ont mis à l'honneur l'ensemble des participants du festival. Le groupe acoustique Soft, enraciné dans la tradition guadeloupéenne. Somi la talentueuse américaine (métis rwandaise et ougandaise), avec son jazz mêlant subtilement soul, pop et afro beat africain. Sly Johnson le showman qui proposera aux festivaliers un groove au carrefour hip-hop, funk et jazz. Toujours parmi les pointures, le trompettiste-chef d’orchestre trinidadien Étienne Charles.
Enracinement et universalité
Alfred Marie Jeanne, président du conseil exécutif de la CTM, en a profité pour mettre en avant l’action et l'effort partenarial déployé par la collectivité pour aider la culture et les acteurs culturels. "Ces rencontres sont génératrices d’espoir, d’élévation, d’enracinement et d’universalité", dit-il.
Pour sa part, Thomas Boutant (directeur de la programmation), a présenté le programme (du 9 au 15 Août). Il a mis en exergue l’implication de la jeunesse, la transmission et surtout l'objectif qui est de faire grandir ce festival.
Un programme alléchant
Les organisateurs ont mis à l'honneur l'ensemble des participants du festival. Le groupe acoustique Soft, enraciné dans la tradition guadeloupéenne. Somi la talentueuse américaine (métis rwandaise et ougandaise), avec son jazz mêlant subtilement soul, pop et afro beat africain. Sly Johnson le showman qui proposera aux festivaliers un groove au carrefour hip-hop, funk et jazz. Toujours parmi les pointures, le trompettiste-chef d’orchestre trinidadien Étienne Charles.
Au programme également, le pianiste martiniquais international Mario Canonge et le guadeloupéen Erik Pédurand dans un duo piano voix avec des textes satiriques et engagés. Le guyanais Chris Combette, chantre de l’harmonie métisse. Le martiniquais Max Mona et sa musique authentique. Clelya Abraham dans un groove teinté pop et jazz. Le trio vocal selkies, Xavier Belin et Pitakpi et le groupe atypique the Ting Bang et son bélé-jazz, complètent l’affiche.Le but de ce festival est de mettre en lumière des univers musicaux (Thomas Boutant).