Moment de partage et de recueillement, la toussaint et la fête des défunts rassemblent les proches. A l'origine, les premiers saints étaient des martyrs, morts pour leur foi. Durant deux jours, les allées des cimetières connaissent une affluence inhabituelle.
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Une fois l'an, la fête de la toussaint et le jour des défunts sont l'occasion pour les familles et leurs proches de se rassembler, afin de partager leur foi et d’honorer la mémoire de leurs chers disparus.
Les cimetières connaissent alors une activité inhabituelle, les sépultures sont nettoyées, refaites à neuf, fleuries… Le soir venu, des centaines de flammes de lumignons et bougies illuminent la nuit. Ce lieu généralement obscur et ténébreux, devient "vivant". Les tombes sont garnies de couronnes et bouquets de fleurs naturelles ou artificielles. Pour les visiteurs,
C’est le 2 novembre, au lendemain de la fête des saints, que la liturgie catholique marque le souvenir des morts, un jour propice également à la méditation. Mais quelque soit le rapport à la religion, l’attachement aux défunts reste indéfectible à travers le temps dans cette tradition.
Les cimetières connaissent alors une activité inhabituelle, les sépultures sont nettoyées, refaites à neuf, fleuries… Le soir venu, des centaines de flammes de lumignons et bougies illuminent la nuit. Ce lieu généralement obscur et ténébreux, devient "vivant". Les tombes sont garnies de couronnes et bouquets de fleurs naturelles ou artificielles. Pour les visiteurs,
Quelques jours auparavant, des groupes de jeunes se pressent aux portes de ces cimetières pour proposer leurs services, moyennant queqlues euros. Ils nettoient, décapent, repeignent... un "petit boulot" ponctuel qui pourrait disparaitre dans quelques années, vu l’engouement grandissant pour la crémation et le manque de place pour de nouvelles concessions. Ne pas confondre fête de tous les saints et jour de commémoration des mortsC’est avant tout une façon d’honorer ses proches, de montrer que même dans l’au-delà, la mémoire est vivace. Les familles se retrouvent et échangent. L’essentiel est de partager, de se rappeler parfois une mère, un fils, un aïeul, une amie... Les défunts sont respectés. Ils revivent, le temps de cette fête catholique.
C’est le 2 novembre, au lendemain de la fête des saints, que la liturgie catholique marque le souvenir des morts, un jour propice également à la méditation. Mais quelque soit le rapport à la religion, l’attachement aux défunts reste indéfectible à travers le temps dans cette tradition.