Trente deux salariés du BTP qui n'étaient plus payés depuis deux mois, sont désormais fixés, leur entreprise vient d'être liquidée par le tribunal de commerce de Fort de France.
" La dernière fois que j'ai reçu mon salaire, c'était en août 2012", nous déclare Mickael Nadeau, représentant du personnel de l'entreprise MBRT ( Martinique Bâtiment réalisation travaux ).
Au total, ce sont 32 salariés de cette entreprise qui vivent la même angoisse : " nos charges restent les mêmes, mais n'ayant pas de revenus, les banques s'impatientent", ajoute-t-il, "sans compter les répercussions sur la famille".
L'entreprise avait obtenu deux marchés de construction de bâtiment aux terres sainvilles, à Fort de France.
Mais au fil des jours, l'activité a d'abord diminué avant de s'arrêter totalement il y a deux mois."Je n'ai pas les moyens de poursuivre ces chantiers", nous dit Victor Montlouis Bonnaire, un patron pourtant réputé pour son dynamisme." le coût du travail est trop élevé à la Martinique, concède t-il.
La semaine dernière, le tribunal a porté le coup de grâce à l'entreprise en prononçant sa liquidation. La suite est de la responsabilité du liquidateur nommé par le tribunal.Les salariés recevront entre autres, salaires, congés payés ou indemnités de licenciement.
Certains peuvent tenter de retrouver une autre activité, peut-être pas dans le BTP car d'autres entreprises devraient connaître le même sort dans les semaines à venir, selon les prévisions des chefs d'entreprises, eux mêmes. Preuve que le vieil adage : " quand le bâtiment va, tout va" semble une nouvelle fois se justifier car actuellement cela ne va pas fort.
Au total, ce sont 32 salariés de cette entreprise qui vivent la même angoisse : " nos charges restent les mêmes, mais n'ayant pas de revenus, les banques s'impatientent", ajoute-t-il, "sans compter les répercussions sur la famille".
L'entreprise avait obtenu deux marchés de construction de bâtiment aux terres sainvilles, à Fort de France.
Mais au fil des jours, l'activité a d'abord diminué avant de s'arrêter totalement il y a deux mois."Je n'ai pas les moyens de poursuivre ces chantiers", nous dit Victor Montlouis Bonnaire, un patron pourtant réputé pour son dynamisme." le coût du travail est trop élevé à la Martinique, concède t-il.
La semaine dernière, le tribunal a porté le coup de grâce à l'entreprise en prononçant sa liquidation. La suite est de la responsabilité du liquidateur nommé par le tribunal.Les salariés recevront entre autres, salaires, congés payés ou indemnités de licenciement.
Certains peuvent tenter de retrouver une autre activité, peut-être pas dans le BTP car d'autres entreprises devraient connaître le même sort dans les semaines à venir, selon les prévisions des chefs d'entreprises, eux mêmes. Preuve que le vieil adage : " quand le bâtiment va, tout va" semble une nouvelle fois se justifier car actuellement cela ne va pas fort.