"La vi atis rèd" (la vie d'artiste est rude). Les artistes martiniquais sont durement frappés par la crise économique. Le contexte est rendu encore plus difficile par l'absence de reconnaissance dont ils se plaignent. L'exemple de l'artiste Max Télèphe est assez instructif.
Pour Max Télèphe, la musique est une véritable vocation qu'il a commencé à l'âge de 12 ans. Il fait du Zouk, du Jazz mais aussi de la musique traditionnelle. Il mélange les genres dans une interprétation dramatique ou humoristique. Sa création musicale s'inspire de l'actualité, de différentes anecdotes mais aussi de la tradition. L'artiste complète sa carte de visite avec quelques apparitions remarquées au cinéma.
Max Télèphe joue de la flûte bambou, de la flûte traversière, du saxophone mais aussi des percussions et se dit totalement dévoué à son métier. Il raconte que vivre de son art n'est pas toujours simple à la Martinique, même lorsqu'il est présenté par certains comme "le Mona moderne".
Le reportage d'Alain Desroc et de Michel Joseph
Max Télèphe joue de la flûte bambou, de la flûte traversière, du saxophone mais aussi des percussions et se dit totalement dévoué à son métier. Il raconte que vivre de son art n'est pas toujours simple à la Martinique, même lorsqu'il est présenté par certains comme "le Mona moderne".
Le reportage d'Alain Desroc et de Michel Joseph