Presque chaque année, les principales associations de yoles fabriquent de nouvelles embarcations et se débarrassent des anciennes en résine, dans la nature...et personne ne sait comment résoudre ce problème.
Au Robert ou au François, les principales communes de la yole martiniquaise, les anciennes yoles en bois sont réparées ou soigneusement conservées. Les autres, fabriquées en résine, sont abandonnées, en particulier dans la mangrove. Elles constituent une pollution visuelle et un danger pour les espèces aquatiques.