Le conflit à la fourrière perdure depuis presque six mois. Ce lundi matin (20 juillet), la CSTM a de nouveau bloqué les accès à l’entreprise.
•
Le bras de fer continue entre le personnel CSTM et le gérant de la fourrière départementale de Mangot Vulcin, au Lamentin. Henry-Hubert Dupont affirme avoir été refoulé par les grévistes qui ont réinstallé un barrage aux portes de la société, ce lundi matin (20 juillet).
La direction propose une hausse de salaire de 150 euros. Ce montant inclut les primes de salissure et de risque. « Une entreprise qui offre à ces salariés 150 euros net en plus sur leurs salaires, c’est quasiment 10 % d’augmentation. C’est déjà quelque chose de considérable », calcule Henry-Hubert Dupont, le gérant de la fourrière. « Désormais l’entreprise est en péril ».
De son côté, le syndicat n’en démord pas. La CSTM exige même deux fois 150 euros, dans le cadre de la réorganisation du temps de travail préconisée par l’employeur. Cette question salariale est donc le dernier point d’achoppement de la plate-forme de revendications, puisque le problème de la réintégration du salarié licencié a déjà été réglé. Le conflit à la fourrière est engagé depuis le 29 janvier 2015.
La direction propose une hausse de salaire de 150 euros. Ce montant inclut les primes de salissure et de risque. « Une entreprise qui offre à ces salariés 150 euros net en plus sur leurs salaires, c’est quasiment 10 % d’augmentation. C’est déjà quelque chose de considérable », calcule Henry-Hubert Dupont, le gérant de la fourrière. « Désormais l’entreprise est en péril ».