Après deux semaines de pause l'affaire Ceregmia redémarre. Mardi matin (2 février), Kinvi Logossah, ancien directeur adjoint du Ceregmia a été mis en examen. C'est la cinquième personne mise en cause dans cette affaire.
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Après deux semaines de pause, l'affaire Ceregmia redémarre. Mardi matin (2 février), Kinvi Logossah, ancien directeur adjoint du Ceregmia a été mis en examen. C'est la cinquième personne mise en cause dans cette affaire après Fred Celimène, l'ancien directeur du Ceregmia, Pascal Saffache, ancien président de l'Université et les deux chefs d'entreprise, Charley Granvorka et Josette Jaca.
Kinvi Logossah, est le deuxième homme du Ceregmia, ancien directeur adjoint du laboratoire de recherche. Un homme finalement assez discret. Une discrétion confirmée mardi matin, lorsqu’avec l’aide de la juge d’instruction, il parvient à éviter nos caméras. Toujours est-il que Kinvi Logossah est lui aussi mis en examen et placé sous contrôle judiciaire.
Kinvi Logossah, est le deuxième homme du Ceregmia, ancien directeur adjoint du laboratoire de recherche. Un homme finalement assez discret. Une discrétion confirmée mardi matin, lorsqu’avec l’aide de la juge d’instruction, il parvient à éviter nos caméras. Toujours est-il que Kinvi Logossah est lui aussi mis en examen et placé sous contrôle judiciaire.
Suite des mises en examen dans l'affaire du Ceregmia
Un acteur important du dossier
L’homme a notamment joué un rôle clef dans le dossier IFGCAR, du nom d’un institut de formation en Haiti. Il en était le directeur. Des sommes importantes, plus de 4 millions d’euros, ont été échangées entre cet institut, l’Europe et le Ceregmia. Des transactions dans des conditions jugées très contestables par les différents rapports : Double rémunération, contrats douteux avec des entreprises, faux diplômes...
Le dossier IFGCAR est l’un des plus complexes de l’affaire Ceregmia. Kinvi Logossah est donc à son tour mis en examen, comme les autres protagonistes. Sept chefs d’accusation sont retenus contre lui parmi lesquels escroquerie en bande organisée, ou faux en écriture publique....
Le dossier IFGCAR est l’un des plus complexes de l’affaire Ceregmia. Kinvi Logossah est donc à son tour mis en examen, comme les autres protagonistes. Sept chefs d’accusation sont retenus contre lui parmi lesquels escroquerie en bande organisée, ou faux en écriture publique....