Soixante personnes ont assisté ce matin (13 février) à un cours de premiers secours. Les pompiers du SDIS ont appris à l'assistance quelques gestes qui peuvent sauver une vie. Ces initiations gratuites ont lieu tout au long du mois de février.
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Vérifier que la victime respire, pratiquer un massage cardiaque, utiliser un défribrilateur...voici quelques unes des techniques enseignées par les pompiers du SDIS à la soixantaine de participants venus apprendre les gestes qui sauvent ce samedi (13 février) à Schoelcher.
Une population formée à ces gestes peut faciliter le travail des secours en cas d'incident majeurs comme un fort séisme ou des attentats terroristes.
Le cours dispensé par les services de secours s'est déroulé ce samedi matin à l'Église Evangéliste Baptiste de Plateau-Fofo à Schoelcher. Cette initiation aux gestes qui sauvent s'inscrit dans une opération d'un mois mise en place par la préfecture de Martinique. Ce sont notamment les attentats du 13 novembre 2015 qui ont poussé l'État à favoriser ce type de formation.
Tous les week-end du mois de février des cours sont donnés dans différentes communes de l'île. Les pompiers et les secouristes assurent l'apprentissage des participants.
Le reportage de Fabienne Léonce et de Laura Shintu :
Une population formée à ces gestes peut faciliter le travail des secours en cas d'incident majeurs comme un fort séisme ou des attentats terroristes.
Un mois d'initiation
Le cours dispensé par les services de secours s'est déroulé ce samedi matin à l'Église Evangéliste Baptiste de Plateau-Fofo à Schoelcher. Cette initiation aux gestes qui sauvent s'inscrit dans une opération d'un mois mise en place par la préfecture de Martinique. Ce sont notamment les attentats du 13 novembre 2015 qui ont poussé l'État à favoriser ce type de formation.Tous les week-end du mois de février des cours sont donnés dans différentes communes de l'île. Les pompiers et les secouristes assurent l'apprentissage des participants.
Le reportage de Fabienne Léonce et de Laura Shintu :
Les gestes d'urgences peuvent sauver des vies en attendant l'arrivée des secouristes professionnels.