Agitation autour de la reprise de France-Antilles

La une du journal du jour
Les candidats à la reprise d’Antilles-Guyane Médias ont jusqu’à ce vendredi 28 avril minuit pour se faire connaître. Le rachat du seul quotidien publié à Fort de France, Pointe à Pitre et Cayenne est un dossier sensible. 
L'avenir du groupe France-Antilles se joue ce vendredi 28 avril à minuit. C'est à cette heure qu'Alain Miroite, l’administrateur judiciaire, va clore les candidatures pour la reprise du groupe Antilles-Guyane.

Un repreneur s'est déjà fait connaître. Aude Jacques-Ruettard, actionnaire minoritaire et petite fille de Robert Hersant, et à la tête d’AJR participation, s’est montrée plus qu’active sur les médias, pour un credo : la modernisation des équipements, une nouvelle ligne éditoriale et la sauvegarde de l’emploi, en ayant totalement la main sur l’actionnariat AGM (Antilles Guyane Médias).

Le Groupe Duval n'a pas fait d'offre

Groupe Duval, groupe familial français connu dans l’immobiliser, et dont le nom a circulé, dans la presse spécialisée, comme étant intéressé par la reprise du quotidien dément formellement dans un communiqué ce vendredi 28 avril avoir fait une offre pour la reprise de cette société. "Le groupe Duval ne participe à aucune offre, à aucune reprise, ni directement, ni indirectement, sous aucune forme". Les informations parues sur le site PressNews et dont nous nous étions fait l’écho, ne sont que des rumeurs, selon le groupe coté en bourse.

Les candidats à la reprise d’Antilles-Guyane Médias ont jusqu’à ce vendredi 28 avril minuit pour se faire connaître.