Une réunion sur la situation des migrants Vénézuéliens, s'est tenue hier (jeudi 22 novembre) au Pérou. Un cri d’alarme qui concerne toute l’Amérique latine, car la situation ne va pas s’améliorer. Selon l’ONU, 3 millions de personnes ont fui la famine et l’insécurité qui règnent au Venezuela
Différents pays d'Amérique latine et des Nations Unies se sont réunis à Quito en Équateur, hier (jeudi 22 novembre) pour discuter du nombre croissant de Vénézuéliens qui émigrent dans les pays de la région (Colombie, Équateur, Pérou, Chili, Brésil). La réunion avait pour objectif de coordonner leurs efforts humanitaires.
Selon les Nations Unies, ce sont maintenant trois millions de Vénézuéliens qui, depuis 2015, ont fui la crise économique et politique dans leur pays.
La Colombie, pays limitrophe, abrite 1 million de ces migrants Vénézuéliens. Environ 3 000 à 5000 personnes de plus arrivent chaque jour et le gouvernement de Bogota affirme que 4 millions d’habitants pourraient y vivre d’ici 2021, ce qui lui coûterait près de 9 milliards de dollars.
Récemment, le Pérou et l’Équateur ont cherché à mieux contrôler le flux de Vénézuéliens entrant dans leur pays en introduisant des restrictions, jugées parfois xénophobes.
L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le HCR ont déclaré que l'exode mettait à rude épreuve plusieurs pays voisins.
Les responsables veulent rédiger une résolution commune sur la manière de mieux gérer l’exode en Amérique latine.
Trois millions de Vénézuéliens ont fui la crise économique et politique dans leur pays, la plupart depuis 2015, ont rapporté les Nations Unies.
Le Venezuela, riche en pétrole, a sombré dans une grave crise économique depuis l’élection du président Nicolas Maduro. Lorsqu’on accuse ce dernier d’avoir ruiné l'économie de son pays par des interventions de l'État tout en réprimant ses opposants politiques il répond que les chiffres de l’immigration sont faux et qu’ils visent à justifier une intervention étrangère dans les affaires du Venezuela.
L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le HCR ont déclaré que l'exode mettait à rude épreuve la stabilité sociale et économique de plusieurs pays de la région.
Contrôler le flux
Selon les Nations Unies, ce sont maintenant trois millions de Vénézuéliens qui, depuis 2015, ont fui la crise économique et politique dans leur pays.
La Colombie, pays limitrophe, abrite 1 million de ces migrants Vénézuéliens. Environ 3 000 à 5000 personnes de plus arrivent chaque jour et le gouvernement de Bogota affirme que 4 millions d’habitants pourraient y vivre d’ici 2021, ce qui lui coûterait près de 9 milliards de dollars.
Récemment, le Pérou et l’Équateur ont cherché à mieux contrôler le flux de Vénézuéliens entrant dans leur pays en introduisant des restrictions, jugées parfois xénophobes.
Une résolution commune
L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le HCR ont déclaré que l'exode mettait à rude épreuve plusieurs pays voisins.
Les responsables veulent rédiger une résolution commune sur la manière de mieux gérer l’exode en Amérique latine.
Trois millions de Vénézuéliens ont fui la crise économique et politique dans leur pays, la plupart depuis 2015, ont rapporté les Nations Unies.
Maduro: "les chiffres sont faux"
Le Venezuela, riche en pétrole, a sombré dans une grave crise économique depuis l’élection du président Nicolas Maduro. Lorsqu’on accuse ce dernier d’avoir ruiné l'économie de son pays par des interventions de l'État tout en réprimant ses opposants politiques il répond que les chiffres de l’immigration sont faux et qu’ils visent à justifier une intervention étrangère dans les affaires du Venezuela.
L'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et le HCR ont déclaré que l'exode mettait à rude épreuve la stabilité sociale et économique de plusieurs pays de la région.