Le dérèglement climatique a des conséquences graves sur la bio-diversité. De nombreuses espèces florales et animales sont menacées. Certaines sont en voie de disparition. C’est le cas des abeilles. En Martinique aussi, le constat est sans appel.
C'est officiel depuis 2016 : l'abeille est une espèce en voie de disparition. Les apiculteurs ne cessent de tirer la sonnette d’alarme sur l’extinction des insectes pollinisateurs. Il y a plusieurs causes à ce fléau. L’agriculture intensive, l’utilisation des pesticides, mais aussi la déforestation.
Il possède actuellement 300 ruches réparties sur plusieurs communes communes : Rivière Salée, Anses d'Arlets, Diamant, Sainte-Anne et le Prêcheur. Malgré le nombre important de ruches, la production de miel reste insuffisante "notamment parce que certains arbres ne fleurissent même plus".
Malgré les nombreuses difficultés rencontrées dans son activité, Alex Maxime reste un apiculteur passionné et dévoué à ses abeilles. C'est avec plaisir qu'il nous fait découvrir son univers, lors d'une visite sur son rucher de Rivière Salée.
Alex Maxime, apiculteur martiniquais, dresse le même constat alarmant. Ce professionnel ressent particulièrement, les répercussions du dérèglement climatique sur son activité.Certains arbres ne fleurissent même plus
Il possède actuellement 300 ruches réparties sur plusieurs communes communes : Rivière Salée, Anses d'Arlets, Diamant, Sainte-Anne et le Prêcheur. Malgré le nombre important de ruches, la production de miel reste insuffisante "notamment parce que certains arbres ne fleurissent même plus".
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