Cédric Chaillot, l'auteur présumé du meurtre d'un homme près d'une boîte de nuit (le Maximus), à la fin du mois de juillet dernier, a été mis en examen pour meurtre, violences avec armes et port d'arme prohibé.
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Très vite, les enquêteurs savent qui chercher après le placement en garde à vue et la mise en examen d’un individu qui a été blessé le soir du drame. Un homme mis en examen, peu après pour complicité de meurtre.
Il s'agit du tireur recherché, Cédric Chaillot, un individu dangereux, déjà condamné à 7 reprises notamment pour vol à main armée et pour des affaires de stupéfiants. Compte tenu de sa personnalité, les grands moyens sont donc déployés.
Une équipe d’une trentaine d’enquêteurs de la Police Judiciaire (PJ) est mise sur le dossier "de jour comme de nuit", précise le Procureur de la République Renaud Gaudeul.
Le secret est pour l’instant bien gardé sur les dessous de cette chasse à l’homme, mais elle permet de repérer l’individu dans une maison du François et de le surveiller. Dans le même temps une opération délicate est montée avec la PJ et l’appui d’une vingtaine d’hommes du GIGN. C’est le procureur qui donne mardi (17 septembre 2019), le signal de l’intervention.
À l’intérieur de la maison, une dizaine de personnes mais surtout la cible. Cédric Chaillot, un martiniquais de 34 ans. Il est appréhendé alors que tout près de lui, est posé un pistolet automatique. En garde à vue, il reconnaît d’abord que cette arme lui appartient, qu’il est l’auteur des coups de feu mortels du 26 juillet. Il a donc été mis en examen pour meurtre et violence avec armes.
Avec lui, deux autres individus ont été placés en détention, deux personnes arrêtées lors de l’opération de mardi dernier. Un mineur de 16 ans qui était en liberté conditionnelle, et un autre homme qui faisait l’objet d’un mandat d’arrêt pour une condamnation à 3 ans pour des violences avec armes.
Les investigations se poursuivent pour savoir si d’autres faits peuvent être reprochés à l’auteur-présumé du meurtre et pour savoir aussi dans quelle condition et grâce à qui, tout ce petit monde a pu se retrouver hébergé dans cette demeure du François...
Il s'agit du tireur recherché, Cédric Chaillot, un individu dangereux, déjà condamné à 7 reprises notamment pour vol à main armée et pour des affaires de stupéfiants. Compte tenu de sa personnalité, les grands moyens sont donc déployés.
Une équipe d’une trentaine d’enquêteurs de la Police Judiciaire (PJ) est mise sur le dossier "de jour comme de nuit", précise le Procureur de la République Renaud Gaudeul.
Enquête minutieuse dans une maison du François
Le secret est pour l’instant bien gardé sur les dessous de cette chasse à l’homme, mais elle permet de repérer l’individu dans une maison du François et de le surveiller. Dans le même temps une opération délicate est montée avec la PJ et l’appui d’une vingtaine d’hommes du GIGN. C’est le procureur qui donne mardi (17 septembre 2019), le signal de l’intervention.
Comment tout ce petit monde a pu se retrouver dans cette demeure du François ?
À l’intérieur de la maison, une dizaine de personnes mais surtout la cible. Cédric Chaillot, un martiniquais de 34 ans. Il est appréhendé alors que tout près de lui, est posé un pistolet automatique. En garde à vue, il reconnaît d’abord que cette arme lui appartient, qu’il est l’auteur des coups de feu mortels du 26 juillet. Il a donc été mis en examen pour meurtre et violence avec armes.
Avec lui, deux autres individus ont été placés en détention, deux personnes arrêtées lors de l’opération de mardi dernier. Un mineur de 16 ans qui était en liberté conditionnelle, et un autre homme qui faisait l’objet d’un mandat d’arrêt pour une condamnation à 3 ans pour des violences avec armes.
Les investigations se poursuivent pour savoir si d’autres faits peuvent être reprochés à l’auteur-présumé du meurtre et pour savoir aussi dans quelle condition et grâce à qui, tout ce petit monde a pu se retrouver hébergé dans cette demeure du François...