Le ministre du tourisme des Bahamas, Obie Wilchcombe, a déclaré que le nombre croissant d’alertes au zika lancées dans la Caraïbe pourrait donner une image négative des pays de la zone.
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Obie Wilchcombe, le ministre du tourisme des Bahamas, estime que le nombre croissant d’alertes au zika lancées dans la Caraïbe pourrait donner une image négative des pays de la zone. La situation, selon lui, peut encore s’aggraver si le nombre de personnes infectées par le virus continue d’augmenter.
Le ministre avoue ne disposer actuellement d’aucune preuve que les touristes ont été moins nombreux à visiter les Bahamas, à cause du virus, mais considère qu’il vaut mieux prévenir que guérir. "Le zika pourrait avoir un impact dévastateur sur les économies de la zone", dit-il. Ce qui inquiète le ministre du Tourisme, ce sont les alertes sanitaires émises par plusieurs pays, à l’attention de ceux qui envisageraient de visiter les territoires touchés par le virus.
Depuis le premier cas de zika signalé aux Bahamas le 10 Août dernier, trois pays ont émis des alertes mettant en garde les voyageurs. C’est le cas du Canada qui vient d’ajouter les Bahamas à la liste des pays où sévit le zika. L’Agence canadienne de santé publique recommande des précautions spéciales aux ressortissants qui voudraient se rendre dans l’archipel. C’est le cas également de Taïwan, où les centres de contrôle des maladies ont émis une alerte de niveau 2 pour les Bahamas, avertissant notamment les femmes enceintes et celles qui envisagent une grossesse des risques d’un voyage aux Bahamas.
Même niveau d’alerte pour les centres étasuniens de contrôle et de prévention des maladies qui ont, la semaine dernière, recommandé aux voyageurs à destination des Bahamas de prendre un maximum de précautions, surtout après le signalement de deux cas de touristes infectés, au retour d’un séjour dans l’archipel...
Une rencontre régionale sur l’impact touristique du zika
Le ministre bahaméen, qui ne manque pas de souligner que le tourisme est la principale source de devises fortes de la Caraïbe, souhaite que les gouvernements caraïbéens se rencontrent pour discuter de l'impact du zika, mais aussi du chikungunya et de la dengue sur la notoriété touristique et plus directement sur l’économie de la zone. "Bien que je crois que le travail a commencé, il existe un sentiment d'urgence qui impose la mise en place d’un plan régional visant à éliminer ou à réduire substantiellement la population de moustiques Aedes aegypti ", a déclaré Obie Wilchcombe.
Source : cananews
Le ministre avoue ne disposer actuellement d’aucune preuve que les touristes ont été moins nombreux à visiter les Bahamas, à cause du virus, mais considère qu’il vaut mieux prévenir que guérir. "Le zika pourrait avoir un impact dévastateur sur les économies de la zone", dit-il. Ce qui inquiète le ministre du Tourisme, ce sont les alertes sanitaires émises par plusieurs pays, à l’attention de ceux qui envisageraient de visiter les territoires touchés par le virus.
Avis sanitaires du Canada, de Taïwan et des États-Unis
Depuis le premier cas de zika signalé aux Bahamas le 10 Août dernier, trois pays ont émis des alertes mettant en garde les voyageurs. C’est le cas du Canada qui vient d’ajouter les Bahamas à la liste des pays où sévit le zika. L’Agence canadienne de santé publique recommande des précautions spéciales aux ressortissants qui voudraient se rendre dans l’archipel. C’est le cas également de Taïwan, où les centres de contrôle des maladies ont émis une alerte de niveau 2 pour les Bahamas, avertissant notamment les femmes enceintes et celles qui envisagent une grossesse des risques d’un voyage aux Bahamas.
Même niveau d’alerte pour les centres étasuniens de contrôle et de prévention des maladies qui ont, la semaine dernière, recommandé aux voyageurs à destination des Bahamas de prendre un maximum de précautions, surtout après le signalement de deux cas de touristes infectés, au retour d’un séjour dans l’archipel...
Une rencontre régionale sur l’impact touristique du zika
Le ministre bahaméen, qui ne manque pas de souligner que le tourisme est la principale source de devises fortes de la Caraïbe, souhaite que les gouvernements caraïbéens se rencontrent pour discuter de l'impact du zika, mais aussi du chikungunya et de la dengue sur la notoriété touristique et plus directement sur l’économie de la zone. "Bien que je crois que le travail a commencé, il existe un sentiment d'urgence qui impose la mise en place d’un plan régional visant à éliminer ou à réduire substantiellement la population de moustiques Aedes aegypti ", a déclaré Obie Wilchcombe.Source : cananews