Les eaux et les plages de Martinique accueillent 3 espèces de tortues marines sur les 7 qui existent dans le monde. "Ces animaux sont tous en danger d’extinction", d'où l'importance de la formation des bénévoles (22 et 23 novembre 2018), par l'ONF en collaboration avec Aquasearch.
Les eaux et les plages de Martinique accueillent 3 espèces de tortues marines sur les 7 qui existent dans le monde. 2 autres espèces y sont observées occasionnellement. "Ces animaux sont tous en danger d’extinction au niveau mondial, du fait de la pollution, des captures accidentelles en mer et de la destruction des habitats", s'alarment les dirigeants du Réseau Tortues Marines de Martinique.
"Au sein de ce réseau, un maillage territorial de gestion des échouages est en train de se mettre en place et de s’étoffer, afin d’avoir une bonne coordination des efforts en cas d’urgence sur une tortue marine", expliquent les animateurs.
"Intervenir sur un animal blessé, échoué, ou un cadavre n'est pas sans risques. Il faut éviter d'aggraver l'état de l'animal, de se blesser soi-même et prévenir le risque de transmissions de maladies entre l'humain et l'animal".
Afin d'appréhender tous ces facteurs et de permettre aux membres du Réseau d'intervenir en toute sécurité pour eux, les animaux et l'environnement, une formation d'un jour et demi (les 22 et 23 novembre 2018) est organisée par l'ONF (Office National des Forêts), en collaboration avec Aquasearch. Les tortues marines sont protégées par le Code de l'Environnement. Il ne faut pas intervenir auprès de ces animaux sans autorisation préalable de la DEAL et de l'ONF. À la fin de cette formation, les correspondants seront ainsi habilités par le préfet à pouvoir intervenir en cas de besoin sur ces espèces marines. Ils viendront renforcer les membres précédemment formés en Février 2018.
Dans les prochaines années, les données récoltées par les membres du réseau échouage permettront d'acquérir de précieuses informations sur les populations présentes dans les eaux martiniquaises, de mieux comprendre les causes d'échouage de ces espèces, et favoriseront ainsi le renforcement des programmes de gestion mis en place afin de pouvoir continuer à préserver ces espèces précieuses de notre patrimoine marin et culturel.
Depuis de nombreuses années, bénévoles et professionnels de l’environnement interviennent au sein de ce Réseau afin de protéger au mieux ces espèces. Il est coordonné par l’Office National des Forêts depuis avril 2017, dans le cadre d’un Plan National d’Actions en faveur des tortues marines des Antilles Françaises.Avoir une bonne coordination des efforts en cas d’urgence sur une tortue marine
"Au sein de ce réseau, un maillage territorial de gestion des échouages est en train de se mettre en place et de s’étoffer, afin d’avoir une bonne coordination des efforts en cas d’urgence sur une tortue marine", expliquent les animateurs.
Formation déterminante
"Intervenir sur un animal blessé, échoué, ou un cadavre n'est pas sans risques. Il faut éviter d'aggraver l'état de l'animal, de se blesser soi-même et prévenir le risque de transmissions de maladies entre l'humain et l'animal".
Afin d'appréhender tous ces facteurs et de permettre aux membres du Réseau d'intervenir en toute sécurité pour eux, les animaux et l'environnement, une formation d'un jour et demi (les 22 et 23 novembre 2018) est organisée par l'ONF (Office National des Forêts), en collaboration avec Aquasearch. Les tortues marines sont protégées par le Code de l'Environnement. Il ne faut pas intervenir auprès de ces animaux sans autorisation préalable de la DEAL et de l'ONF. À la fin de cette formation, les correspondants seront ainsi habilités par le préfet à pouvoir intervenir en cas de besoin sur ces espèces marines. Ils viendront renforcer les membres précédemment formés en Février 2018.
Des atouts pour mieux préserver ces espèces précieuses
Dans les prochaines années, les données récoltées par les membres du réseau échouage permettront d'acquérir de précieuses informations sur les populations présentes dans les eaux martiniquaises, de mieux comprendre les causes d'échouage de ces espèces, et favoriseront ainsi le renforcement des programmes de gestion mis en place afin de pouvoir continuer à préserver ces espèces précieuses de notre patrimoine marin et culturel.