La brume de sable perdure en Martinique. Compte tenu de la présence de particules fines dans l'air liées à la forte brume de sable en provenance du Sahara, la Préfecture maintient l’état d’alerte rouge pour les prochains jours.
Depuis quatre jours la brume de sable s'est installée sur le territoire martiniquais. Le transport des particules depuis le désert africain jusqu’aux Antilles s’explique par la présence de dépressions thermiques au-dessus du Sahara étant à l’origine de vents turbulents et donc de mise en suspension des particules. Puis les masses d'air transportent les particules désertiques à haute altitude.
(Re)voir le reportage de Sophie Loneté et André Quion Quion
L'épisode de pollution se poursuit et devrait durer jusqu'au dimanche 28 mai. Face à la persistance du phénomène, Madininair précise que le risque de dépassement des normes réglementaires en particules fines reste encore élevé ce jeudi 25 mai.
Ces particules très fines d'origine Saharienne entrent dans les alvéoles pulmonaires. Écoulement nasale, difficultés à respirer, sinus bouché, crise d'asthme, picotement des yeux... la brume de sable complique la vie des personnes fragiles.
Le brûlage de végétaux a donc des effets néfastes directs sur les personnes qui le pratique et sur leur voisinage, mais affecte aussi l’environnement et la qualité de l’air.
(Re)voir le reportage de Sophie Loneté et André Quion Quion
L'épisode de pollution se poursuit et devrait durer jusqu'au dimanche 28 mai. Face à la persistance du phénomène, Madininair précise que le risque de dépassement des normes réglementaires en particules fines reste encore élevé ce jeudi 25 mai.
Ces particules très fines d'origine Saharienne entrent dans les alvéoles pulmonaires. Écoulement nasale, difficultés à respirer, sinus bouché, crise d'asthme, picotement des yeux... la brume de sable complique la vie des personnes fragiles.
Interdiction de bruler à l'air libre les déchets verts
Concernant des agissements dangereux de particuliers qui commettent des délits prévus par le code de l’environnement, pendant cet épisode de brume de sable Il est interdit, de brûler à l’air libre des déchets verts. Cette pratique est source d’importantes émissions de polluants dans l’air, notamment de particules fines. Ces faits d'intoxication de l'air par ces feux viennent avec les composés organiques volatils donc aggraver une situation déjà grave de présence de particules fines dans l'air liées à la forte brume de sable en provenance du Sahara.Le brûlage de végétaux a donc des effets néfastes directs sur les personnes qui le pratique et sur leur voisinage, mais affecte aussi l’environnement et la qualité de l’air.