C'est l'heure du bilan de la campagne sucrière 2020 en Martinique. Avec 38 708 tonnes de cannes broyées entre février et juin 2020, on peut parler de bon cru cette année. La Société Anonyme d’Économie Mixte du Galion à Trinité a présenté ses résultats jeudi 9 juillet 2020.
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Une année plutôt satisfaisante avec un chiffre à retenir : 38 708. Il s'agit du nombre de tonnes de cannes broyées à l’usine du Galion entre février et juin 2020.
Dans les données chiffrées on note 15 000 tonnes de plus qu’en 2019 et près de 7 000 de plus qu’en 2018. Mais cela reste encore insuffisant, au regard des besoins en cannes de la sucrerie qui s'élève à 100 000 tonnes, selon Philippe André et Richard Barthéléry, respectivement directeur général et président du conseil d’administration de la SAEM Le Galion.
Qualitativement, le bilan est encore meilleur. Avec un coefficient de paiement supérieur à 8, qui révèle en quelque sorte, la teneur en sucre des cannes également appelées le "brix".
Cette richesse en sucre s’explique, en grande partie, par le temps ensoleillé de ces derniers mois.
Des chiffres au-dessus de la moyenne, s'est encore félicité Richard Barthéléry.
L’usine espère faire beaucoup mieux avec une production de 50 000 tonnes de cannes à sucre pour l’année prochaine.
Pour augmenter sa production, la direction entend s’appuyer sur des particuliers pouvant mettre une partie de leurs terres exploitables à sa disposition. L’usine préfinancerait ces éventuelles plantations. La société dit avoir déjà obtenu une quinzaine de réponses positives.
Dans les données chiffrées on note 15 000 tonnes de plus qu’en 2019 et près de 7 000 de plus qu’en 2018. Mais cela reste encore insuffisant, au regard des besoins en cannes de la sucrerie qui s'élève à 100 000 tonnes, selon Philippe André et Richard Barthéléry, respectivement directeur général et président du conseil d’administration de la SAEM Le Galion.
Plus de volume et de qualité
Qualitativement, le bilan est encore meilleur. Avec un coefficient de paiement supérieur à 8, qui révèle en quelque sorte, la teneur en sucre des cannes également appelées le "brix".
Cette richesse en sucre s’explique, en grande partie, par le temps ensoleillé de ces derniers mois.
Des chiffres au-dessus de la moyenne, s'est encore félicité Richard Barthéléry.
Richard Barthéléry directeur général de la SAEM Le Galion
Pour augmenter sa production, la direction entend s’appuyer sur des particuliers pouvant mettre une partie de leurs terres exploitables à sa disposition. L’usine préfinancerait ces éventuelles plantations. La société dit avoir déjà obtenu une quinzaine de réponses positives.