Las de ne pas obtenir de rendez-vous en Martinique lorsque les médecins lui diagnostiquent un cancer de la prostate, le chef d'entreprise Philippe Soundorom choisi de partir en France."Décision prise en constatant la violence du cancer et le délai entre le diagnostic et le traitement", explique-t-il.
À Paris, il apprend que son cancer est déjà très avancé. Heureusement, il est pris en charge immédiatement. Il considère que c'est grâce à cette réactivité qu'il est aujourd'hui en vie.
S'il a les moyens financiers de prendre l'avion autant de fois que nécessaire pour se faire soigner en France, ce n'est pas le cas de tout le monde. Une illustration du problème de la prise en charge de ce type de cancer en Martinique.