Le changement climatique a figuré au menu du congrès annuel des maires de France, à Paris. Nos élus se préoccupent aussi des effets néfastes du dérèglement planétaire de la température et du cycle des saisons. Des sujets qui concernent tous les citoyens.
Quel climat demain ? Comment préparer la transition vers la nouvelle donne climatique planétaire dont doivent bénéficier nos enfants ? Ce sujet de discussion est l’un des nombreux thèmes du programme du congrès annuel des maires.
Il n’y a pas que les maires ou les élus qui peuvent ou qui doivent s’inquiéter des conséquences des dérèglements climatiques. Les citoyens sont en première ligne sur le sujet. Du reste, nous pourrions, dans nos territoires, nous inspirer des travaux de la Convention citoyenne pour le climat.
Chez nous, une telle instance pourrait proposer des solutions pratiques aux communes, aux services de l’Etat, aux organismes professionnels et aux nombreuses associations. Les causes des dérèglements sont archi-connues mais ses effets restent moins bien perçus.
Entre autres : la montée du niveau de la mer et l’érosion continue du littoral ; la disparition ou la raréfaction des abeilles, libellules, chenilles, papillons, criquets, sauterelles, colibris, des espèces utiles à la transmission de la vie ; l’urbanisation organisée ou disparate ; la pollution atmosphérique par les trop nombreux véhicules.
Nos enfants comprendront mieux que nous la nécessité de revoir nos modes de transport et nos habitudes de consommation alimentaire. Les experts les plus pessimistes prétendent qu’il est presque trop tard. Nous sommes en train d’épuiser la totalité des ressources naturelles disponibles, disent-ils. Mais les plus optimistes disent que nous pouvons encore corriger le tir.
Il n’y a pas que les maires ou les élus qui peuvent ou qui doivent s’inquiéter des conséquences des dérèglements climatiques. Les citoyens sont en première ligne sur le sujet. Du reste, nous pourrions, dans nos territoires, nous inspirer des travaux de la Convention citoyenne pour le climat.
Elle vient de terminer sa troisième session de travail. Elle se réunit le week-end jusqu’au 26 janvier prochain pour émettre des propositions réalistes visant à faciliter la transition vers d’autres modes de production d’énergie. Installée à l’issue du Grand débat national voulu par le chef de l’État, elle rassemble 150 citoyennes et citoyens de toute la France, de tous âges, de toutes les catégories sociales.#Congresdesmaires : Maurice Bonté alerte sur "la modification permanente du climat" qui menace de "dévaster les Caraïbes, [...] une région de 40 millions d'habitants" @l_amf #OutreMer pic.twitter.com/7JAjf1Tmzp
— Public Sénat (@publicsenat) November 18, 2019
Est-il trop tard pour corriger nos erreurs ?
Chez nous, une telle instance pourrait proposer des solutions pratiques aux communes, aux services de l’Etat, aux organismes professionnels et aux nombreuses associations. Les causes des dérèglements sont archi-connues mais ses effets restent moins bien perçus.
Entre autres : la montée du niveau de la mer et l’érosion continue du littoral ; la disparition ou la raréfaction des abeilles, libellules, chenilles, papillons, criquets, sauterelles, colibris, des espèces utiles à la transmission de la vie ; l’urbanisation organisée ou disparate ; la pollution atmosphérique par les trop nombreux véhicules.
Nos enfants comprendront mieux que nous la nécessité de revoir nos modes de transport et nos habitudes de consommation alimentaire. Les experts les plus pessimistes prétendent qu’il est presque trop tard. Nous sommes en train d’épuiser la totalité des ressources naturelles disponibles, disent-ils. Mais les plus optimistes disent que nous pouvons encore corriger le tir.