Depuis 5h ce 1er avril, 2020, la population de Sainte-Lucie est en confinement jusqu’au 7 avril 2020. La mesure annoncée dans la soirée du 31 mars par le premier ministre Allen Chastanet, a surpris les habitants qui n’ont pas eu le temps de se préparer pour cet isolement prolongé.
Selon Allen Chastanet, Premier ministre de Sainte-Lucie, ce couvre-feu de 24h pour une durée d’une semaine est nécessaire pour stopper la progression du COVID 19.
Il y a 13 cas du Coronavirus confirmés dans le pays. Aujourd’hui le virus se transmet localement. Il ne s’agit plus de cas importés. Les autorités sanitaires craignent une propagation massive dans la population.
Le Premier ministre n’a pas donné de préavis pour l’introduction du couvre-feu. Il ne voulait pas que les supermarchés soient pris d’assaut par la population. Les réactions des saint luciens via les réseaux sociaux furent immédiates. Certains estiment que cette mesure aurait du être introduite il y a bien longtemps. D’autres, qui n’ont pas eu le temps de se préparer, expliquent qu’ils n’ont pas assez de nourriture pour les 7 prochains jours.
Le gouvernement a voulu rassurer la population. L’Organisation Nationale des Urgences, NEMO, est chargée de la distribution de produits de première nécessité à la population pendant ce confinement total. Il suffit d’appeler une hotline dédiée pour commander les colis d’urgence qui seront ensuite livrés à domicile.
Les lignes de la hotline sont saturées par un déluge d’appels. Il est impossible de rejoindre le service, disponible uniquement par téléphone. Le site web n’est plus accessible. Les supermarchés sont fermés. Les saint luciens ne peuvent pas sortir sauf en cas d’urgence et munis d’une attestation délivrée par l’Organisation Nationale des Urgences. Les cliniques et les hôpitaux restent ouverts aux horaires réduits.
Il y a 13 cas du Coronavirus confirmés dans le pays. Aujourd’hui le virus se transmet localement. Il ne s’agit plus de cas importés. Les autorités sanitaires craignent une propagation massive dans la population.
Le Premier ministre n’a pas donné de préavis pour l’introduction du couvre-feu. Il ne voulait pas que les supermarchés soient pris d’assaut par la population. Les réactions des saint luciens via les réseaux sociaux furent immédiates. Certains estiment que cette mesure aurait du être introduite il y a bien longtemps. D’autres, qui n’ont pas eu le temps de se préparer, expliquent qu’ils n’ont pas assez de nourriture pour les 7 prochains jours.
Le gouvernement a voulu rassurer la population. L’Organisation Nationale des Urgences, NEMO, est chargée de la distribution de produits de première nécessité à la population pendant ce confinement total. Il suffit d’appeler une hotline dédiée pour commander les colis d’urgence qui seront ensuite livrés à domicile.
Les lignes de la hotline sont saturées par un déluge d’appels. Il est impossible de rejoindre le service, disponible uniquement par téléphone. Le site web n’est plus accessible. Les supermarchés sont fermés. Les saint luciens ne peuvent pas sortir sauf en cas d’urgence et munis d’une attestation délivrée par l’Organisation Nationale des Urgences. Les cliniques et les hôpitaux restent ouverts aux horaires réduits.