Nos actions sont innombrables, souvent discrètes mais très utiles. (Catherine Conconne, Josette Manin, Maurice Antiste).
"Nous avons l’habitude de croire que nul n’a le monopole de l’amour du peuple", commentent les parlementaires. Pour sa part, le député Serge Letchimy adresse au préfet de Martinique, une liste de 12 mesures d’urgence concernant la crise sanitaire liée au Coronavirus COVID-19.
La probabilité d’un désastre est forte : Il faut s’attendre à tout et se préparer au pire (Député Serge Letchimy).
Le député de la circonscription de Fort-de-France fait une proposition qui se veut à la hauteur de la situation exceptionnelle. "L’interdiction des coupures d’eau, d’électricité, de téléphone ou internet, et des expulsions en cas de loyers impayés, doit être de rigueur pendant toute la durée du confinement". Ensuite c'est au tour du député Jean-Philippe Nilor et du maire du Prêcheur Marcellin Nadeau (co-fondateur du parti Péyi-a) de s'adresser au Président de la République. Ils attendent en particulier, le renfort de médecins cubains en Martinique.
La lettre du député Jean-Philippe Nilor et du maire Marcellin Nadeau.Dans une lettre ouverte en date du 19 mars 2020, nous demandions aux Directeur Général de l’ARS et Préfet de Martinique de se faire les relais singulièrement pour la venue de médecins cubains.
Lettre au Président de la République
La venue de médecins cubains en Martinique, c'est aussi la préoccupation de Claude Lise. Le président de l'Assemblée de la Collectivité Territoriale de Martinique (CTM) écrit à l'Etat.Enfin, pendant ce temps, Alfred Marie-Jeanne rencontre le monde économique (par visio conférence mercredi 25 mars 2020). Le président du conseil exécutif de la CTM veut anticiper les conséquences de la pandémie sur l'économie locale.Ne faut-il pas prendre dès à présent les dispositions permettant de bénéficier, si besoin, du renfort de médecins étrangers (en reprenant notamment les négociations déjà menées avec le Gouvernement cubain).
Les solutions développées et les mesures envisagées devraient permettre aux petites et moyennes entreprises (PME) et aux très petites entreprises (TPE) de faire face à une rétraction prévisible de l’économie et de pallier les conséquences négatives sur l’emploi. (Alfred Marie-Jeanne).