La presse privée aussi s’est également énormément investie pour couvrir les différentes dimensions de la crise sanitaire planétaire. La chute brutale de ses ressources commerciales en raison du ralentissement de l’activité économique risque de l’affaiblir.
La pandémie provoquée par le Covid-19 n’en finit pas de provoquer des dégâts dans tous les compartiments de nos sociétés. Parmi les victimes invisibles figurent les médias privés. Dans la plupart des pays, ces entreprises de presse sont privées de ressources financières durant la crise.
Plusieurs études attestent de la chute ou la disparition des recettes commerciales tirées des messages publicitaires, des annonces légales, des abonnements, de la vente au numéro des journaux. La plupart des médias n’ayant pas cessé leur parution ou leur diffusion, ils ne peuvent espérer aucune aide financière publique, dans l’immédiat en tout cas.
Ce qui ne va guère changer leur sort. En France, ces entreprises privées ne bénéficient pas, ou peu, des ressources distribuées par l’Etat, réservées au secteur public par le biais de la redevance audiovisuelle. Les radios, télévisions, journaux et sites numériques seront contraints de trouver d’autres moyens de renflouer leur trésorerie.
Le réamorçage financier ne sera pas automatique, ni immédiat. Il en est du secteur de la presse comme de la plupart des secteurs d’activités économiques. La patience et l’imagination sont requises pour que les entreprises de presse retrouvent leur capacité financière afin de pour fonctionner au quotidien au service de leur public.
Au-delà de la catastrophe économique et sociale qui guette les médias privés, c’est notre vie démocratique qui risque d’être affaiblie. Une station de radio, une chaîne de télévision ou un journal qui ferme, c’est assurément une parcelle de l’expression de l’opinion publique qui est remise en cause.
La presse remplit une autre mission, en plus de publier des reportages illustrant des moments de notre vie quotidienne et des articles de référence. Elle contribue au débat public. La presse, privée ou publique, nous éclaire sur nos faits et gestes, autour de nous et plus loin. Elle offre à chacun la possibilité de savoir ce que disent et font les élites d’un pays. Elle contribue ainsi à la vivacité de la vie publique. Nul ne peut se résigner à la disparition d’un organe de presse. Il y va de notre vitalité collective.
Plusieurs études attestent de la chute ou la disparition des recettes commerciales tirées des messages publicitaires, des annonces légales, des abonnements, de la vente au numéro des journaux. La plupart des médias n’ayant pas cessé leur parution ou leur diffusion, ils ne peuvent espérer aucune aide financière publique, dans l’immédiat en tout cas.
Ce qui ne va guère changer leur sort. En France, ces entreprises privées ne bénéficient pas, ou peu, des ressources distribuées par l’Etat, réservées au secteur public par le biais de la redevance audiovisuelle. Les radios, télévisions, journaux et sites numériques seront contraints de trouver d’autres moyens de renflouer leur trésorerie.
Patience et imagination sont requises
Le réamorçage financier ne sera pas automatique, ni immédiat. Il en est du secteur de la presse comme de la plupart des secteurs d’activités économiques. La patience et l’imagination sont requises pour que les entreprises de presse retrouvent leur capacité financière afin de pour fonctionner au quotidien au service de leur public.
Au-delà de la catastrophe économique et sociale qui guette les médias privés, c’est notre vie démocratique qui risque d’être affaiblie. Une station de radio, une chaîne de télévision ou un journal qui ferme, c’est assurément une parcelle de l’expression de l’opinion publique qui est remise en cause.
La presse remplit une autre mission, en plus de publier des reportages illustrant des moments de notre vie quotidienne et des articles de référence. Elle contribue au débat public. La presse, privée ou publique, nous éclaire sur nos faits et gestes, autour de nous et plus loin. Elle offre à chacun la possibilité de savoir ce que disent et font les élites d’un pays. Elle contribue ainsi à la vivacité de la vie publique. Nul ne peut se résigner à la disparition d’un organe de presse. Il y va de notre vitalité collective.