Des textes, des photos, des vidéos, c’est là, en partie, la conclusion de 9 mois de travail, 9 mois de résidence, ou 9 danseurs ont réfléchi à propos de ce qui est qualifié d'écologie de la danse.
Ensemble ils ont mené des expériences pour trouver une esthétique, entre leur création et la danse traditionnelle.
Le chorégraphe Jean Hugues Mirédin incite ces danseurs amateurs et professionnels, à se libérer pour aller chercher une nouvelle inspiration, une nouvelle forme d’expression. Mais pour cela "il faut d’abord prendre conscience de soi" explique le chorégraphe.
Ensuite viennent d’autres émotions, celles que dégagent le bèlè, la musique traditionnelle de Martinique, et qui nécessite pour certains, une transmission des codes.
C’est ce mélange d’émotions, de danse moderne et de bèlè qui pourraient devenir la source d’une inspiration pour une nouvelle forme d’expression.