La reconstitution de la scène (jeudi 8 décembre 2016), qui a conduit à la mort de l'enseignante Francette Pierre-Émile, a apporté des précisions au nouveau juge d'instruction. La famille et son avocate attendent sereinement la date du procès de Philippe Ponsar, le principal suspect.
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Philippe Ponsar a toujours avancé la thèse accidentelle pour expliquer la mort de l’enseignante Francette Pierre-Émile. Ce jeudi 8 décembre 2016, jour de reconstitution, il refait les gestes qui auraient provoqué le drame.
"Cette reconstitution fait suite à des actes de procédure qui'il a fallu refaire", explique Dinah Rioual-Rosier, avocate de la partie civile. Le nouveau juge d’instruction ne veut laisser aucun détail de côté. Cette reconstitution clôturera l’instruction et permettra d’envisager très prochainement, je l’espère, la date du procès", confie l'avocate de la famille Pierre-Émile.
L’époux de la victime n’a pas été convoqué mais tenait à être présent devant la maison de Philippe Ponsar. "On espère beaucoup de ce procès", lâche Gérard Pierre-Emile.
Philippe Ponsar a toujours avancé la thèse accidentelle dans la mort de l’enseignante.
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La reconstitution a réuni des représentants du parquet de Fort-de-France, les avocats et des experts judiciaires. Le suspect Philippe Ponsar est conduit une nouvelle fois à son domicile, route de Didier à Fort-de-France, à l’initiative du nouveau juge d’instruction dans ce dossier."Cette reconstitution fait suite à des actes de procédure qui'il a fallu refaire", explique Dinah Rioual-Rosier, avocate de la partie civile. Le nouveau juge d’instruction ne veut laisser aucun détail de côté. Cette reconstitution clôturera l’instruction et permettra d’envisager très prochainement, je l’espère, la date du procès", confie l'avocate de la famille Pierre-Émile.
Les preuves seraient accablantes
"Il y a suffisamment d’éléments à charge contre le suspect. Donc tout ce qu’il pourra faire en périphérie ne nous émeut pas. En ce qui nous concerne, la partie civile, nous sommes particulièrement sereins et c’est en toute quiétude que nous irons à ce procès.L’époux de la victime n’a pas été convoqué mais tenait à être présent devant la maison de Philippe Ponsar. "On espère beaucoup de ce procès", lâche Gérard Pierre-Emile.