SÉ LA KAY NOU. Mylène Plantin a créé son entreprise et vit de sa passion au François

Chronique Sangha Fagour et Fabienne Léonce. ©Martinique la 1ère
Cadre dans le privé, Mylène Plantin a tout plaqué, du jour au lendemain. En pleine crise Covid, la jeune femme, de 34 ans à l'époque, décide d'ouvrir son magasin de réparation en téléphonie mobile. Un pari couronné de succès puisqu'elle a ouvert, il y a peu, une deuxième boutique.

Son bonheur, c'est d'avoir les mains dans les composants électroniques. Trifouiller, visser, dévisser, la jeune femme fait preuve d'une aisance certaine. Et pourtant, elle est autodidacte.

Il y a 5 ans, Mylène Plantin décide de se lancer dans l'aventure de l'entrepreneuriat, alors même que tous les voyants sont au rouge, en pleine crise Covid.
Malgré le contexte, la jeune femme parvient à lancer son affaire de réparation en téléphonie mobile, et a même franchi il y a quelques mois un nouveau pas, en ouvrant une deuxième structure.

Mylène Plantin a dû convaincre des partenaires parfois réticents. Une démarche d'autant plus audacieuse que l'entrepreneuse était à l'époque salariée.

FAGOUR / F. LÉONCE / O. OZIER-LAFONTAINE / F. GARONDO