Le groupe Ho Hio Hen, ex-propriétaire du centre commercial Océanis au Robert traverse des difficultés financières. Serait-il en train de payer son éthique ? En effet, il serait l’un des seuls opérateurs à n’avoir pas puisé dans la manne du remboursement de l’octroi de mer.
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Y'a-t-il une face cachée aux difficultés financières du groupe Ho Hio Hen ? Le groupe vient d’être contraint de céder le centre commercial Océanis du Robert au Groupe Bernard Hayot.
Un ancien avocat, Claude Michalon, s’est penché pendant des années sur un fait méconnu, le remboursement des taxes d’octroi de mer. De 93 à 2010, les opérateurs économiques ont fait des centaines de procès pour récupérer l’octroi de mer qu’ils avaient payé en important les produits, avec à la clef des sommes conséquentes.
L’octroi de mer, a priori répercuté sur les prix et les consommateurs, aurait donc été finalement remboursé aux opérateurs… en pleine crise de 2009
Combien les groupe Hayot et Parfait ont-ils finalement touchés ? Seuls la douane, le gouvernement et les avocats disposent de l’information. Ce qu’on sait en revanche c’est que le groupe Ho Hio Hen, approché par les mêmes avocats parisiens, a refusé.
(Re)voir le reportage avec des images de Marc-François Calmo et Patrice Château-Degat.
Difficultés d’adaptation ou conséquences de décisions plus éthiques que les autres ?
Un ancien avocat, Claude Michalon, s’est penché pendant des années sur un fait méconnu, le remboursement des taxes d’octroi de mer. De 93 à 2010, les opérateurs économiques ont fait des centaines de procès pour récupérer l’octroi de mer qu’ils avaient payé en important les produits, avec à la clef des sommes conséquentes.
L’octroi de mer, a priori répercuté sur les prix et les consommateurs, aurait donc été finalement remboursé aux opérateurs… en pleine crise de 2009
Combien les groupe Hayot et Parfait ont-ils finalement touchés ? Seuls la douane, le gouvernement et les avocats disposent de l’information. Ce qu’on sait en revanche c’est que le groupe Ho Hio Hen, approché par les mêmes avocats parisiens, a refusé.
(Re)voir le reportage avec des images de Marc-François Calmo et Patrice Château-Degat.