En début d’année, un lycéen s’est vu refuser l’accès à un bus à Fort-de-France à cause de son homosexualité. C'est dire si les préjugés homophobes sont encore nombreux en Martinique.
•
Jeremy, 27 ans, accepte de témoigner, mais ne veut pas qu’on le reconnaisse. Il a déjà payé le prix fort parce qu’il est homosexuel.
Il y a cinq ans, alors qu’il vivait en France et travaillait dans une grande entreprise, il vu le visage de la haine. Partir est ce qui a sauvé Jeremy. "Je n’ai commencé à vivre qu’en arrivant en Martinique. Je n’ai commencé à être libre qu’ici", explique-t-il.
L’homosexualité n’est pourtant pas forcément plus facile à vivre pour les jeunes martiniquais.
(Re)voir notre reportage avec des images de Willliam Zebina.
Il y a cinq ans, alors qu’il vivait en France et travaillait dans une grande entreprise, il vu le visage de la haine. Partir est ce qui a sauvé Jeremy. "Je n’ai commencé à vivre qu’en arrivant en Martinique. Je n’ai commencé à être libre qu’ici", explique-t-il.
L’homosexualité n’est pourtant pas forcément plus facile à vivre pour les jeunes martiniquais.
(Re)voir notre reportage avec des images de Willliam Zebina.