Les pompiers ont été appelés dimanche soir vers 21h pour un incendie d'habitation quartier Trénelle à Fort-de-France bien plus grave que prévu. Ils ont été mobilisés près de sept heures pour circonscrire l’incendie.
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Ce qui semblait être un banal feu d'habitation s'est révélé bien plus dangereux. Les pompiers ont été appelés aux environs de 21h dimanche soir (20 mai) pour un incendie.
Mais dans cette maison de la rue du Bal blomé au quartier Trénelle à Fort-de-France étaient entreposés des bonbonnes de gaz, des pneus ou encore des moteurs.
C'est un court-circuit qui serait à l'origine de l'incendie puis les pneus se sont enflammés. Les pompiers de Fort-de-France, du Lamentin et de case Pilote en renfort ont lutté pendant plus de sept heures pour circonscrire l’incendie. Avec pour difficulté supplémentaire d'éviter l'explosion des bonbonnes gaz et la propagation des flammes vers les habitations environnantes.
Autre problème, le raccordement aux bornes d’incendie était très éloigné de l'habitation. La maison est complètement brûlée et les lignes électriques des alentours abîmées. Par ailleurs un pompier intoxiqué a été pris en charge par les secours.
(Re)voir le reportage avec des images de Marc Balssa.
Mais dans cette maison de la rue du Bal blomé au quartier Trénelle à Fort-de-France étaient entreposés des bonbonnes de gaz, des pneus ou encore des moteurs.
L’irresponsabilité d’un mécanicien aurait pu causer de très gros dégâts
C'est un court-circuit qui serait à l'origine de l'incendie puis les pneus se sont enflammés. Les pompiers de Fort-de-France, du Lamentin et de case Pilote en renfort ont lutté pendant plus de sept heures pour circonscrire l’incendie. Avec pour difficulté supplémentaire d'éviter l'explosion des bonbonnes gaz et la propagation des flammes vers les habitations environnantes.
Autre problème, le raccordement aux bornes d’incendie était très éloigné de l'habitation. La maison est complètement brûlée et les lignes électriques des alentours abîmées. Par ailleurs un pompier intoxiqué a été pris en charge par les secours.
(Re)voir le reportage avec des images de Marc Balssa.