Les barrages doivent être levés devant les centres de tri et établissements de la poste, mardi 28 janvier 2020. La justice a tranché suite à l'ordonnance de référé déposée par la direction de l'entreprise avec une astreinte de 500 euros par jour de blocage notifié aux syndicats FO, GCTM, SUD et CFTC
Le mouvement de grève des services postaux mené par l'intersyndicale FO, GCTM, SUD et CFTC a connu ce mardi 28 janvier 2020, un nouveau développement.
La justice a rendu sa décision suite à une ordonnance de référé déposée par la direction de la Poste. Elle donne gain de cause à la majorité des demandes de la direction de l'entreprise, reconnaît un trouble manifeste illicite et demande la levée des barrages.
L'intersyndicale FO, CGTM, SUD et CFTC doit libérer les abords des centres de tri et établissements de la poste, sous peine d’expulsion par la force publique, ainsi qu’une astreinte de 500 euros par jour, par site bloqué et par organisation syndicale.
(Voir réaction Sandra Vado, intersyndicale de la Poste)
Depuis le début du conflit le 14 janvier dernier, aucun courrier n'est distribué. Les clients des services bancaires n'ont plus accès à leur compte.
La justice a rendu sa décision suite à une ordonnance de référé déposée par la direction de la Poste. Elle donne gain de cause à la majorité des demandes de la direction de l'entreprise, reconnaît un trouble manifeste illicite et demande la levée des barrages.
L'intersyndicale FO, CGTM, SUD et CFTC doit libérer les abords des centres de tri et établissements de la poste, sous peine d’expulsion par la force publique, ainsi qu’une astreinte de 500 euros par jour, par site bloqué et par organisation syndicale.
(Voir réaction Sandra Vado, intersyndicale de la Poste)