Le 22 mai 2020, un groupe de jeunes déboulonnait des statues de personnages de l’époque coloniale. Des évènements qui ont fait réagir de jeunes historiens et chercheurs. Ils organisent une rencontre autour de la thématique "renommer, déboulonner, débaptiser, cannibaliser et après ?".
•
Des symboles coloniaux réduits à néant.
Le 22 mai 2020, un groupe de jeunes déboulonnait des statues de personnages de l’époque coloniale à Fort-de-France. Des évènements qui ont durablement marqué les esprits et provoqué des tensions.
De jeunes historiens et chercheurs ont réagi à travers un manifeste pour la Martinique lancé le 31 juillet 2020.
Dans cette continuité, a été créée une association baptisée la Fabrique décoloniale.
Ces jeunes historiens ont aussi fait entendre leur voix. Pour donner une autre lecture et apporter des réponses au débat actuel.
Historique et de société. Ils travaillent depuis quelques années sur l’histoire de la Martinique et de la Caraïbe.
Ils ont décidé de rassembler des forces vives, pour créer une dynamique autour de la question de l’histoire et de la mémoire.
Des évènements en présentiel et en ligne avec des artistes, des étudiants. Le 1er évènement aura lieu le 7 novembre sur la thématique "renommer, déboulonner, débaptiser, cannibaliser et après ?".
(Re)voir le reportage de Fabienne Leonce et d'Eddy Bellerose
Le 22 mai 2020, un groupe de jeunes déboulonnait des statues de personnages de l’époque coloniale à Fort-de-France. Des évènements qui ont durablement marqué les esprits et provoqué des tensions.
De jeunes historiens et chercheurs ont réagi à travers un manifeste pour la Martinique lancé le 31 juillet 2020.
La Fabrique décoloniale
Dans cette continuité, a été créée une association baptisée la Fabrique décoloniale.
Ces jeunes historiens ont aussi fait entendre leur voix. Pour donner une autre lecture et apporter des réponses au débat actuel.
Historique et de société. Ils travaillent depuis quelques années sur l’histoire de la Martinique et de la Caraïbe.
Ils ont décidé de rassembler des forces vives, pour créer une dynamique autour de la question de l’histoire et de la mémoire.
Nous devons faire corps, nous rassembler au-delà de ce qui nous divise, quelle société martiniquaise désirons nous ? Comment apaiser les tensions mémorielles ? Nous voulons voir les évènements actuels comme une opportunité d’ouvrir un dialogue sur la justice sociale, économique, et environnementale de notre territoire sur la réparation face à la chlordécone.
Des évènements en présentiel et en ligne avec des artistes, des étudiants. Le 1er évènement aura lieu le 7 novembre sur la thématique "renommer, déboulonner, débaptiser, cannibaliser et après ?".
(Re)voir le reportage de Fabienne Leonce et d'Eddy Bellerose