La ligue de judo se mobilise pour la relance de la discipline

Les judokas étaient en stage à l'IMS (Institut Martiniquais du Sport) au Lamentin.
Le feu vert est donné pour les entraînements sportifs. Les ligues et comités s'organisent. Près de 30 judokas toutes catégories confondues ont participé à un regroupement pendant 3 jours (3-4-5 novembre 2021) à l'IMS (Institut Martiniquais du sport au Lamentin).

La ligue de judo de la Martinique a organisé durant les vacances de Toussaint un stage pour les combattants de la discipline.

Pendant trois jours sous l'autorité du conseiller technique Gilles Guilon, les judokas (des benjamins jusqu’aux seniors) ont évolué sur les tatamis de l’institut Martiniquais du sport à Mangot Vulcin au Lamentin.

Un programme qui a ravi judokas et parents

 La ligue de judo s’est donnée les moyens d’offrir à ses licenciés un programme de qualité proposant la préparation physique, mais aussi le perfectionnement des techniques et des combats d’entraînement.

Ces retrouvailles sur les tatamis se sont déroulées dans un excellent esprit sportif sous l’œil vigilant du président Alfred Céphise et du conseiller technique Gilles Guilon. 

À gauche Alfred Céphyse président de la ligue de judo, à droite Gilles Guilon, conseiller technique

La vie associative joue un rôle majeur dans le maintien du lien social dont nous avons été particulièrement privé pendant la crise sanitaire. Nous allons renouveler l'opération. Ce regroupement a donné au judo un souffle nouveau. Nous avons tout fait en respectant les mesures de protection sanitaire édictées par les autorités.

Alfred Céphise, président de la ligue de Judo

 

Les parents ont tenu à féliciter la ligue de judo pour ce regroupement mis en place.

Régine Bellay, mère du judokas Yanis Bellay

C’est une belle initiative. L’interruption de l’activité impacte l’enfant dans son élan surtout quand la motivation est forte. J’encourage les dirigeants à le faire dès que l’opportunité est présente tout en respectant les consignes, les protocoles sanitaires et les gestes barrières pour protéger tout le monde.

Régine Bellay, mère du judokas Yanis Bellay de Lékol Matinik judo

les meilleurs étaient regroupés pendant trois jours

 

 Ma fille Malia est licenciée au club de Sainte Luce, je suis content de l’organisation de ce stage permettant aux enfants de sortir de la morosité. Ils doivent s’exprimer, bouger et faire du sport. Cela fait partie du bien-être et de l’équilibre de l’enfant. Ma fille a choisi le judo, ce sont des règles de disciplines qui lui seront profitables demain dans la vie professionnelle.

David Battet père de Malia Bettet

David Battet père de Malia Battet

 

Pendant ces trois jours, les judokas ont repris goût à l’activité sportive. Les confinements drastiques et nécessaires ont impacté la discipline. Ce rendez-vous inter générationnel est arrivé comme une bouffée d’oxygène.