Qui dit carburants, dit SARA ! Et quand on dit carburants, c'est dans le sens très large du terme. Essence, diesel, mais aussi gaz, kérosène, et fioul lourd : tout cela est produit par l'unique raffinerie des Antilles-Guyane.
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Chaque année, la SARA importe, en moyenne, 800.000 tonnes de pétrole brut pour les transformer en hydrocarbures. Une partie de la production est ensuite envoyée en Guadeloupe et en Guyane. 60% des volumes sont vendus aux station-services, le reste est réservé aux avions et aux centrales électriques.
La conception de produits pétroliers constitue donc l'activité principale de la SARA. Principale, mais pas unique. La raffinerie s'intéresse de plus en plus aux énergies renouvelables. Elle doit inaugurer une centrale photovoltaïque en juin 2018. Elle possède aussi une pile à combustible hydrogène qui produit de l'électricité verte...
La SARA vise les énergies renouvelables
Cette production représente un chiffre d'affaires annuel de 800 millions d'euros. La matière première, est issue des pays de la Mer du Nord, Angleterre et Norvège, notamment. C'est, selon la SARA, le meilleur pétrole, car il permet d'avoir un produit conforme aux normes européennes, ce qui ne serait pas le cas pour un pétrole venant, par exemple, du Venezuela...Ou sinon, il aurait fallu changer le processus de raffinage, ce qui coûte très cher.La conception de produits pétroliers constitue donc l'activité principale de la SARA. Principale, mais pas unique. La raffinerie s'intéresse de plus en plus aux énergies renouvelables. Elle doit inaugurer une centrale photovoltaïque en juin 2018. Elle possède aussi une pile à combustible hydrogène qui produit de l'électricité verte...