Suite à l'appel lancé par le syndicat CFDT, plusieurs dizaines de personnes sont rassemblées sur le parking face à la concession Peugeot au Lamentin ce samedi 19 septembre 2020. Toutes soutiennent "Oswaldo", un salarié de l'entreprise, licencié il y a un peu plus d'une semaine.
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Vêtus de maillots orange, les soutiens à "Oswaldo" sont nombreux sur ce parking face à la concession Peugeot ce samedi matin (19 septembre 2020) au Lamentin.
Il s'agit d'un rassemblement pacifique. Les représentants du syndicat CFDT, à l'initiative de l'appel, ont ouvert la parole à tous ceux qui sont venus soutenir le salarié licencié selon eux "de manière abusive", suite notamment au message d'un client insatisfait sur les réseaux sociaux. Licencié "pour non-respect des process de vente", selon la direction.
Les soutiens arrivent progressivement. Quelques membres des collectifs RVN (Rouge-Vert-Noir) et Mun sont aussi présents.
Patrick Ouensanga, le directeur général de Blue Automobiles (Peugeot Martinique) dit clairement à nos journalistes sur place, qu'il ne reviendra pas sur sa décision de licencier Oswaldo Florimond.
Un document avec l'en-tête de l'entreprise, mais non signé, circule depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux. Dans ce courrier, plusieurs points sur les conditions de ce licenciement sont mis en exergue...dans le sens de la décision de l'entreprise.
Il s'agit d'un rassemblement pacifique. Les représentants du syndicat CFDT, à l'initiative de l'appel, ont ouvert la parole à tous ceux qui sont venus soutenir le salarié licencié selon eux "de manière abusive", suite notamment au message d'un client insatisfait sur les réseaux sociaux. Licencié "pour non-respect des process de vente", selon la direction.
Les soutiens arrivent progressivement. Quelques membres des collectifs RVN (Rouge-Vert-Noir) et Mun sont aussi présents.
Des accusations réfutées ?
Patrick Ouensanga, le directeur général de Blue Automobiles (Peugeot Martinique) dit clairement à nos journalistes sur place, qu'il ne reviendra pas sur sa décision de licencier Oswaldo Florimond.
Un document avec l'en-tête de l'entreprise, mais non signé, circule depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux. Dans ce courrier, plusieurs points sur les conditions de ce licenciement sont mis en exergue...dans le sens de la décision de l'entreprise.