David Dinal refuse d'être considéré comme un candidat par défaut, investi par Ensemble Pour une Martinique Nouvelle dans la circonscription sud, il s'en est expliqué ce matin dans l'émission radio filmée "Saw ka di".
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Tout sauf un candidat par défaut, à en écouter le principal intéressé. "J’ai bénéficié des soutiens d’Arnaud René Corail et de Nicaise Monrose, respectivement maires des 3 îlets et de Sainte-Luce", précise t-il d’entrée. "J’y vais car c’est un choix personnel, préparé de longue date".
David Dinal est aussi un militant du sport-santé, du sport-loisir, et des centres d’évaluation santé dans notre île. Le célèbre parcours du cœur, c’est lui. Ce thème de la santé sera d’ailleurs l’un de ses chevaux de bataille durant la campagne. Il est un adepte du "manger bouger", à condition que cela soit mieux réglementé par les députés.
L’homme des Anses d’Arlet, ancien militant de l’AGEM (Association Générale des Étudiants martiniquais, à Montpellier) veut d’abord s’appuyer sur son expérience professionnelle et associative pour répondre aux attentes de la population martiniquaise, même si à son palmarès politique, il ne dispose que de sa seule casquette d’élu d’opposition, aux Anses d’Arlet, depuis 2014…
(Re)voir l'émission saw ka di de ce mardi 24 janvier 2017 :
Sa notoriété au service de son ambition politique
Celui que la Martinique entière connaît comme étant d’abord un cardiologue exerçant dans son pays depuis 1984, a préparé sa montée en puissance pour cette élection. Il a, par exemple, transféré son cabinet médical, à Rivière Salée, dés 2009. Rivière Salée, la porte du sud, histoire de soigner une visibilité si tant est qu’il en ait réellement besoin.David Dinal est aussi un militant du sport-santé, du sport-loisir, et des centres d’évaluation santé dans notre île. Le célèbre parcours du cœur, c’est lui. Ce thème de la santé sera d’ailleurs l’un de ses chevaux de bataille durant la campagne. Il est un adepte du "manger bouger", à condition que cela soit mieux réglementé par les députés.
L’homme des Anses d’Arlet, ancien militant de l’AGEM (Association Générale des Étudiants martiniquais, à Montpellier) veut d’abord s’appuyer sur son expérience professionnelle et associative pour répondre aux attentes de la population martiniquaise, même si à son palmarès politique, il ne dispose que de sa seule casquette d’élu d’opposition, aux Anses d’Arlet, depuis 2014…
(Re)voir l'émission saw ka di de ce mardi 24 janvier 2017 :
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