Les syndicats organisaient ce jeudi 31 mars, une nouvelle journée de mobilisation contre le projet de loi El Khomri. Plusieurs centaines de manifestants ont crié leur colère dans les rues de Fort-de-France. Ils étaient beaucoup plus nombreux à réclamer le retrait d'un texte jugé trop libéral.
Salariés, syndicats de la fonction publique comme le privé ont défilé ce jeudi 31 mars, beaucoup plus nombreux que le 9 mars dernier pour réclamer le retrait d'un texte jugé trop libéral. La CDMT, le SNUIPP-FSU, FO, La CGTM, des associations féministes formaient le cortège dans les rues de Fort-de France. Cette nouvelle journée de mobilisation se voulait beaucoup plus unitaire contre le projet de loi El Khomri.
Force Ouvrière : "il est urgent de defendre les garanties collectives, les droits des salaries et le code du travail". - Eric Bellemare secrétaire général de FO-Martinique
Pour la CFDT d'autres mesures dans ce projet de loi demandent un renforcement et notamment le mandatement syndical d’un salarié dans les entreprises dépourvues de délégués syndicaux. Eric Picot, le secrétaire général de la CFDT estime qu'il est nécessaire que ce projet de loi évolue et surtout sur les accords de méthode qui visent à s’assurer de la qualité des négociations d’entreprises.
La CGTM : "c'est une attaque contre le monde du travail" . Gyslaine Joachim-Arnaud secrétaire générale de la CGTM
Le SNUIPP : "n'accepte pas un projet qui vise à augmenter le temps de travail des apprentis mineurs et à baisser celui consacré à la formation". Charles Noelé co-secretaire Snuipp-FSU
Force Ouvrière : "il est urgent de defendre les garanties collectives, les droits des salaries et le code du travail". - Eric Bellemare secrétaire général de FO-Martinique
Pour la CFDT d'autres mesures dans ce projet de loi demandent un renforcement et notamment le mandatement syndical d’un salarié dans les entreprises dépourvues de délégués syndicaux. Eric Picot, le secrétaire général de la CFDT estime qu'il est nécessaire que ce projet de loi évolue et surtout sur les accords de méthode qui visent à s’assurer de la qualité des négociations d’entreprises.
La CGTM : "c'est une attaque contre le monde du travail" . Gyslaine Joachim-Arnaud secrétaire générale de la CGTM
Le SNUIPP : "n'accepte pas un projet qui vise à augmenter le temps de travail des apprentis mineurs et à baisser celui consacré à la formation". Charles Noelé co-secretaire Snuipp-FSU