Quatrième journée de mobilisation pour les lycéens de Martinique ce vendredi 14 décembre 2018. Au fil des jours, ils sont de plus en plus nombreux et certains élèves d'établissements privés de l'île rejoignent également le mouvement à l'exemple du Couvent Saint-Joseph de Cluny.
Depuis le "mardi noir" (11 décembre 2018) lancé par le syndicat lycéen Union nationale lycéenne (UNL) dans tous les établissements de France, les lycéens de Martinique manifestent leur colère tous les jours.
Selon le rectorat, 20 établissements sur les 23 que compte la Martinique sont perturbés ce vendredi 14 décembre.
Preuve d'un véritable malaise, les élèves des établissements privés, Séminaire Collège hier (jeudi 13 décembre 2018), Couvent Saint-Joseph de Cluny ce matin (vendredi 14 décembre 2018), rejoignent le mouvement.
Hier (jeudi 13 décembre 2018) déjà, une délégation de plusieurs lycéens a été reçue en préfecture. Il leur a été assuré que leurs doléances seront remontées au niveau national.
Contre la réforme du baccalauréat et le système Parcoursup
Selon le rectorat, 20 établissements sur les 23 que compte la Martinique sont perturbés ce vendredi 14 décembre.
Preuve d'un véritable malaise, les élèves des établissements privés, Séminaire Collège hier (jeudi 13 décembre 2018), Couvent Saint-Joseph de Cluny ce matin (vendredi 14 décembre 2018), rejoignent le mouvement.
Une rencontre est prévue entre le Conseil Académique de la Vie Lycéenne et le Recteur. Par ailleurs, d'autres lycéens ont convergé vers le centre-ville de Fort-de-France afin qu'une délégation soit reçue par le préfet.#Martinique #grevedeslyceens Pour cette nouvelle journée de mobilisation, les lycéens du Couvent Saint-Joseph de Cluny rejoignent le mouvement. Pancartes en main, ils ont manifesté devant les portes de leur établissement. Il s'agirait d'une première dans cette école privée. pic.twitter.com/MJzdYzBj6Z
— Martiniquela1ère (@Martiniquela1e) 14 décembre 2018
Hier (jeudi 13 décembre 2018) déjà, une délégation de plusieurs lycéens a été reçue en préfecture. Il leur a été assuré que leurs doléances seront remontées au niveau national.