Il va entrer en vigueur que dans un mois et pourtant il suscite la stupeur des automobilistes : le nouveau contrôle technique. Cette nouvelle procédure qui répond aux normes européennes, sera plus sévère et plus cher. Alors c’est la précipitation devant les centres de contrôle.
•
Les centres de contrôle technique tournent à plein régime en ce moment. À partir du 20 Mai prochain, une nouvelle procédure, beaucoup plus sévère, sera mise en place.
De nombreux automobilistes veulent devancer cette date car ils sont persuadés que leur véhicule sera recalé avec les nouvelles procédures. Les carnets de rendez-vous sont donc surchargés, une semaine à l’avance, selon les agences, là où il fallait auparavant attendre les dernières 48h pour les remplir.
Cette frénésie fait que le rythme de travail s’est accéléré depuis 2 mois, dans ces centres. Les agents n’ont plus le temps de respirer...
Aujourd’hui lorsqu’une voiture passe cet examen obligatoire pour les véhicules de plus de 4 ans, dix fonctions principales sont testées. Cela va du freinage à l’éclairage en passant par la direction. D’ici à quelques jours les vérifications seront plus poussées, les sanctions plus lourdes et les tarifs plus salés.
Jusqu'à maintenant les défauts constatés sur les véhicules sont classés en 2 catégories : Défaillances mineures et défaillances majeures. Un délai de 2 mois est même accordé pour réparer et procéder à une contre-visite pour obtenir le précieux sésame. Rien ne va changer de ce côté. Mais demain une 3° catégorie va voir le jour : les défaillances critiques !
Vous n’aurez que 24h pour procéder aux réparations, et c’est ce qui suscite une certaine psychose.
Ces défaillances critiques sont au nombre de 126. Un étrier de frein en mauvais état, une fuite d'huile ou un témoin allumé au tableau de bord. Dès le lendemain les conducteurs n’auront plus la possibilité de circuler sous peine d’une amende de 135 €...
De nombreux automobilistes veulent devancer cette date car ils sont persuadés que leur véhicule sera recalé avec les nouvelles procédures. Les carnets de rendez-vous sont donc surchargés, une semaine à l’avance, selon les agences, là où il fallait auparavant attendre les dernières 48h pour les remplir.
Cette frénésie fait que le rythme de travail s’est accéléré depuis 2 mois, dans ces centres. Les agents n’ont plus le temps de respirer...
Aujourd’hui lorsqu’une voiture passe cet examen obligatoire pour les véhicules de plus de 4 ans, dix fonctions principales sont testées. Cela va du freinage à l’éclairage en passant par la direction. D’ici à quelques jours les vérifications seront plus poussées, les sanctions plus lourdes et les tarifs plus salés.
Une vingtaine d’euros en plus en moyenne, selon les centres de contrôles
Jusqu'à maintenant les défauts constatés sur les véhicules sont classés en 2 catégories : Défaillances mineures et défaillances majeures. Un délai de 2 mois est même accordé pour réparer et procéder à une contre-visite pour obtenir le précieux sésame. Rien ne va changer de ce côté. Mais demain une 3° catégorie va voir le jour : les défaillances critiques !
Vous n’aurez que 24h pour procéder aux réparations, et c’est ce qui suscite une certaine psychose.
Ces défaillances critiques sont au nombre de 126. Un étrier de frein en mauvais état, une fuite d'huile ou un témoin allumé au tableau de bord. Dès le lendemain les conducteurs n’auront plus la possibilité de circuler sous peine d’une amende de 135 €...