Quel développement pour l’outre-mer ? Une question à laquelle a répondu le président de la République lors de son déplacement en Guyane. Il propose des réponses destinées à être évoquées lors des Assises des outre-mer.
Le pari du président Macron pour le développement des pays d’outre-mer va-t-il réussir ? En tout cas, le chef de l’Etat s’est attaché à détailler son plan d’ensemble pour le développement des économies de nos territoires. Des projections ayant reçu un faible écho chez nos dirigeants politiques, vraisemblablement accaparés par la gestion des collectivités. Pourtant, les orientations proposées sont pour beaucoup inspirées par nos élites.
Premier axe de travail, la forte dépendance de nos économies à la commande publique suppose d’accélérer et de simplifier les procédures. Le président pense en particulier au bâtiment, mais aussi aux énergies renouvelables. Des secteurs d’activités à fort potentiel d’emplois, comme le numérique et l’économie de la mer.
Deuxième axe de réflexion, la réduction de la dépendance alimentaire par l’industrialisation de l’agriculture. Une priorité, l’importation de ce nous consommons aggravant la cherté de la vie. Sans compter que l’agriculture traditionnelle maintient le sous-développement du secteur. Comme s’il n’y a pas d’alternative à la banane subventionnée.
Troisième axe de développement, le tourisme. "Nos infrastructures ne sont pas au niveau de la compétition internationale" estime le président. Il convient de sortir du schéma classique du tourisme balnéaire, désormais obsolète. Un secteur qui doit être modernisé, suggère le président Macron.
Il plaide pour un Etat stratège, orientant le développement de nos territoires. Comme si nos investisseurs, nos entrepreneurs et nos dirigeants étaient incapables de prendre des initiatives innovantes. Le chef de l’Etat nous invite à imaginer un autre type de développement de nos pays. A condition que nous le voulions nous-mêmes.
Premier axe de travail, la forte dépendance de nos économies à la commande publique suppose d’accélérer et de simplifier les procédures. Le président pense en particulier au bâtiment, mais aussi aux énergies renouvelables. Des secteurs d’activités à fort potentiel d’emplois, comme le numérique et l’économie de la mer.
Deuxième axe de réflexion, la réduction de la dépendance alimentaire par l’industrialisation de l’agriculture. Une priorité, l’importation de ce nous consommons aggravant la cherté de la vie. Sans compter que l’agriculture traditionnelle maintient le sous-développement du secteur. Comme s’il n’y a pas d’alternative à la banane subventionnée.
Troisième axe de développement, le tourisme. "Nos infrastructures ne sont pas au niveau de la compétition internationale" estime le président. Il convient de sortir du schéma classique du tourisme balnéaire, désormais obsolète. Un secteur qui doit être modernisé, suggère le président Macron.
Il plaide pour un Etat stratège, orientant le développement de nos territoires. Comme si nos investisseurs, nos entrepreneurs et nos dirigeants étaient incapables de prendre des initiatives innovantes. Le chef de l’Etat nous invite à imaginer un autre type de développement de nos pays. A condition que nous le voulions nous-mêmes.