Les ouvriers de l'usine du Galion manifestent sur la voie publique ce vendredi 17 novembre. Pas de blocage mais un convoi avec arrêts à chaque rond point en direction du Lamentin. Ils veulent des garanties sur le fonctionnement de l’usine à quatre mois du redémarrage de la campagne sucrière.
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Ils sont inquiets pour leur avenir et ils le font savoir ce matin en occupant la voie publique. Après un rassemblement dans leur entreprise dès six heures du matin, les ouvriers de l’usine du Galion sont partis en convoi sur les routes de Martinique peu avant 7 heures.
Pas de blocage mais un convoi avec arrêts à chaque rond point. En opération molokoy, Ils feront ce vendredi, des allers et retours entre Trinité et la Brasserie Lorraine.
Une opération en guise d'avertissement. Ils entendent envoyer un message aux élus de la CTM parce qu’ ils estiment être dans le flou concernant le fonctionnement de l’usine du Galion ces prochaines semaines, même si, selon les déclarations des élus , il n’est pas question de stopper l’unité même de façon temporaire.
La chaudière du Galion, vieille de 27 ans, est à bout de souffle, obsolète et dangereuse. À chaque approche de l'ouverture de la récolte de la canne à sucre c'est l'émoi. Décideurs politiques et responsables industriels ne sont pas en harmonie.
En attendant si l'usine du Galion ne fonctionne pas, les planteurs ne peuvent pas anticiper sur la signature des contrats des saisonniers, par exemple.
opération molokoy des ouvriers de l'usine du Galion
Des arrêts à chaque rond-point
Pas de blocage mais un convoi avec arrêts à chaque rond point. En opération molokoy, Ils feront ce vendredi, des allers et retours entre Trinité et la Brasserie Lorraine.
Une opération en guise d'avertissement. Ils entendent envoyer un message aux élus de la CTM parce qu’ ils estiment être dans le flou concernant le fonctionnement de l’usine du Galion ces prochaines semaines, même si, selon les déclarations des élus , il n’est pas question de stopper l’unité même de façon temporaire.
Une chaudière à bout de souffle
La chaudière du Galion, vieille de 27 ans, est à bout de souffle, obsolète et dangereuse. À chaque approche de l'ouverture de la récolte de la canne à sucre c'est l'émoi. Décideurs politiques et responsables industriels ne sont pas en harmonie.
En attendant si l'usine du Galion ne fonctionne pas, les planteurs ne peuvent pas anticiper sur la signature des contrats des saisonniers, par exemple.