La qualité de l’air était à nouveau mauvaise dimanche 16 septembre. La procédure d’information et de recommandation a dû être déclenchée par Madininair. Les ravages de cette pollution atmosphérique ont déjà fait plusieurs millions de victimes à l’échelle de toute la planète.
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Depuis bien longtemps, la sonnette d’alarme est tirée sur plusieurs sites spécialisés et autres blogs scientifiques, quant aux dangers de la pollution atmosphérique.
En effet, les études se suivent et les chiffres sont de plus en plus vertigineux.
Le journal le Monde par exemple, nous renvoie à l’un des derniers rapports de 2017 sur la qualité de l’air publié le 11 octobre dernier précisément, par l’Agence européenne pour l’environnement qui estimait que cette pollution était à l’origine de plus de 500 000 décès prématurés (avant 65 ans) en Europe, par an.
Un autre document publié le 20 octobre, dans la très respectée revue médicale "The Lancet", porte ce décompte macabre à 6,5 millions à l’échelle de la planète pour la seule année 2015 et à un total estimé à 9 millions, en ajoutant les morts liées à la pollution de l’eau et des sols (1,8 million) et en milieu professionnel (0,8 million).
Neuf millions, cela représente un décès sur six dans le monde (soit 16 %), relève l’étude qui, pour bien prendre la mesure de la gravité de la situation, note que c’est "trois fois plus que les morts combinées du sida, de la tuberculose et du paludisme".
Cette étude ne se contente pas de donner l’alerte, puisqu’elle formule également plusieurs recommandations, comme l’intégration de la pollution dans le plan d’action planétaire pour la lutte contre les maladies non transmissibles de l’Organisation mondiale de la santé.
Autre proposition : faire de la prévention en matière de pollution, une priorité internationale ou encore développer des systèmes de surveillance des effets de cette pollution sur notre santé.Dans le cadre de la semaine consacrée à la qualité de l'air, ce lundi 17 septembre, une conférence est prévue de 8h à 12h au hall Vulcano du Morne-Rouge, sur cet air que nous respirons, souvent dégradé depuis plusieurs années.
En effet, les études se suivent et les chiffres sont de plus en plus vertigineux.
Le journal le Monde par exemple, nous renvoie à l’un des derniers rapports de 2017 sur la qualité de l’air publié le 11 octobre dernier précisément, par l’Agence européenne pour l’environnement qui estimait que cette pollution était à l’origine de plus de 500 000 décès prématurés (avant 65 ans) en Europe, par an.
Des chiffres qui effraient
Un autre document publié le 20 octobre, dans la très respectée revue médicale "The Lancet", porte ce décompte macabre à 6,5 millions à l’échelle de la planète pour la seule année 2015 et à un total estimé à 9 millions, en ajoutant les morts liées à la pollution de l’eau et des sols (1,8 million) et en milieu professionnel (0,8 million).
Neuf millions, cela représente un décès sur six dans le monde (soit 16 %), relève l’étude qui, pour bien prendre la mesure de la gravité de la situation, note que c’est "trois fois plus que les morts combinées du sida, de la tuberculose et du paludisme".
Cette étude ne se contente pas de donner l’alerte, puisqu’elle formule également plusieurs recommandations, comme l’intégration de la pollution dans le plan d’action planétaire pour la lutte contre les maladies non transmissibles de l’Organisation mondiale de la santé.
Autre proposition : faire de la prévention en matière de pollution, une priorité internationale ou encore développer des systèmes de surveillance des effets de cette pollution sur notre santé.Dans le cadre de la semaine consacrée à la qualité de l'air, ce lundi 17 septembre, une conférence est prévue de 8h à 12h au hall Vulcano du Morne-Rouge, sur cet air que nous respirons, souvent dégradé depuis plusieurs années.